mardi 1 mars 2016

COMITE DE CINQ

COMITE DE CINQ:









COMITÉ DE CINQ
(5)

Le Comité
des Cinq -- qui devint le Comité international de la Croix-Rouge -- était
composé, lors de sa création à Genève, le 17 février 1863, d'hommes
remarquables:
1.    
Jean-Henri
Dunant :
le fondateur.
le
8
mai
1828,
à
Genève
et mort le
30 octobre
1910,
à
Heiden.                          82 Ans
2.    
Louis Gabriel Gustave
Moynier :
l'organisateur (Juriste ou Avocat).

le
21 septembre
1826
à
Genève
et mort le
21 août
1910
à Genève.
            73 Ans
3.    
Louis
Paul Amédée Appia
 : doté d'une
expérience en chirurgie en temps de guerre.

le
13 octobre
1818
à
Hanau
et décédé le
1er mars 1898
à
Genève.
             
79 Ans

4.    
Théodore David Eugène Maunoir : lui aussi
expérimenté en chirurgie en temps de guerre.

le
1er
juin
1806
à
Genève
et décédé le
26 avril
1869
à
Genève.
                   
62 Ans

5.     Général
Guillaume-Henri Dufour
 : qui a été
chef de l'Armée suisse.
Né à Constance
le
15 septembre
1787
et mort le
14 juillet
1875
à
Genève.
    
88 Ans
 


jeudi 23 juillet 2015

REPARTITION DES GROUPES SANGUINS ERYTHROCYTAIRES DU SYSTEMES ABO ET RHESUS CHEZ LES KINOIS « CAS DU QUARTIER KINGASANI II DANS LA COMMUNE DE KIMBANSEKE » REPARTITION DES GROUPES SANGUINS ERYTHROCYTAIRES DU SYSTEME ABO ET RHESUS CHEZ LES KINOIS : EXPOSE : LA BALANCE HYDRIQUE (BALANCE DES LIQUIDES...

REPARTITION DES GROUPES SANGUINS ERYTHROCYTAIRES DU SYSTEME ABO ET RHESUS CHEZ LES KINOIS:




MINISTERE
DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, UNIVERSITAIRE ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
INSTITUT SUPERIEUR
DES TECHNIQUES MEDICALES
I.S.T.M/KINSHASA
B.P.774/KINSHASA XI.


REPARTITION DES GROUPES SANGUINS ERYTHROCYTAIRES DU
SYSTEMES ABO ET RHESUS  CHEZ LES KINOIS
« CAS
DU QUARTIER KINGASANI II DANS LA COMMUNE DE KIMBANSEKE
 »
SECTION : TECHNIQUES DE LABORATOIRE








        ?
BABA MAYIMONA
Israël
           G3 LABO
Travail de fin de cycle
présenté et défendu en vue de l’obtention de titre de Gradué en techniques Médicales.
Option : Techniques de Laboratoire
Directeur : CT
MUNSIMBELE     NTAM’ASOL
Biologiste Médical

Ruban vers le bas: ANNEE ACADEMIQUE 2011-2012
 














































INTRODUCTION

En médecine,
plusieurs études antérieurs ont été initiées et ces données médicales restent
encore incomplète (ignorante) sur toute l’étendue mondiale.
Auparavant, le sang
était considéré comme irremplaçable dans l’organisme car son utilisation en
thérapeutique provoquait des conséquences néfastes, voir même fatale pour les
malades transfusés à telle enseigne que la réussite d’une transfusion était due
au hasard.
Pour notre recherche,
il consiste à la connaissance du groupe sanguin du système ABO et cela grâce
aux travaux de LANDSTEINER qu’on a su qu’il y avait dans le sang des humains
les antigènes(Ag) et les anticorps(Ac) définissant les différents groupes
sanguins(4).
Le système ABO garde
une importance fondamentale. En effet, dans la pratique, sa connaissance
conditionne la sécurité transfusionnelle, et constitue une règle absolument
indispensables pour l’efficacité transfusionnelle, voir même nous fixés sur la
prédominance du groupe sanguin érythrocytaire chez les Kinois habitant le
quartier KINGASANI dans la commune de KIMBANSEKE(4).
Notre hypothèse : ici à Kinshasa,
beaucoup des personnes ignorent encore leurs groupes rend difficile la manœuvre
de transfusion sanguine. En cas de nécessité (accident, accouchement accidentel,
comas…) et nous pensons que la connaissance des groupes sanguins chez les
kinois pourrait tout soi-peu réduire les accidents transfusionnels ?
Notre objectif consistera à l’importance de
connaitre son groupe sanguin dans la prévention de la vie et s’informait de la
répartition de groupe sanguin dans l’ensemble de la population mondiale.
Notre intérêt du travail est dans la sécurité
transfusionnelle et dans la lutte contre la maladie hémolytique.
Méthodologie est d’identifier les
individus, prélever le sang et réaliser leurs groupes sanguins par la méthode
directe ou méthode de BETH-VINCENT.
Notre travail est
subdivisé en deux(2) grandes parties : la première partie est dite
Bibliographique ou Littérature ; qui contient la généralité sur le sang et
les groupes sanguins ; la seconde partie est dite Expérimentale ou
Pratique, va contenir les matériels et les méthodes suivie de résultats et
discussions, afin la conclusion puis la bibliographie.



















PREMIERE
PARTIE : PARTIE BIBLIOGRAPHIQUE






CHAPITRE I :
GENERALITES SUR LE SANG.
Le sang est un tissu
conjonctif liquide de l’organisme constitué par la suspension des
cellules ; érythrocytes (ou GR ou hématies), leucocytes (ou GB) et des
fragments des cellules appelés thrombocytes (ou plaquettes), dans un liquide
appelé plasma.
Le sang est plus
dense et plus visqueux que l’eau (H2O), ce qui explique son
écoulement est plus lent. La température du sang est d’environ 38°C, il est
légèrement alcalin avec un pH variant entre 7,35 et 7,45 qui constitue environ
8% du poids total du corps, son volume varie entre 5 à 6 litres chez l’homme
adulte de taille moyenne, et entre 4 à 5 litres chez la femme adulte de la
taille moyenne.
Les artères
contiennent un quart de la quantité totale, le reste est presque totalement
réservé à la veine car une petite quantité est retrouvée seulement dans le
capillaire.

Le sang est composé
d’une partie liquide appelée plasma et une autre solide constitué des éléments
figurés (GR, GB et Plaquette).

Est essentiellement
constitué d’eau dans laquelle peuvent se dissoudre de nombreuses substances par
exemple ; l’oxygène et le CO2, les sels, les sucres, des
graisses, des protéines et d’autres substances nutritives issue de la
digestion ; déchets produit par les cellules sanguines.
Si l’on recueille du
sang dans un tube, il prend rapidement l’aspect d’un gel, le sang se coagule
dans quelques heures après, on y distingue :
ü  Au
fond du tube une masse sombre, on l’appelle culot globulaire ;
ü  Au
dessous du tube un liquide jaunâtre appelé sérum.
Le
plasma est une substance complexe dont l’eau est le composant principale, il
contient également des protéines, des éléments minéraux tels que le Na+ ;
K+ ; Cl- ;CO32- ou le
bicarbonate mais également les substances organiques telles que des
glucoses ; des hormones ; des enzymes ; des lipides ;des
AA(Acide Aminé). Enfin il
renferme des résidus tels que l’urée et
la créatinine ; parmi les protéines plasmatiques, l’albumine maintient la
pression osmotique du sang.
De ce fait, elle
contrôle sa densité, sa tendance à diffuser à travers les parois des vaisseaux
sanguines ;certaines protéines, comme les fibrinogènes et la prothrombine,
participant au processus de la coagulation, d’autre comme les agglutinines ou
anticorps(Ac),sont responsables de la réaction d’agglutination entre
échantillon sanguin de type différent de globuline de type varié, les Ac
intervenant dans la réactions immunitaire dirigé contre des germes pathogènes,
enfin des protéines plasmatiques sont de transporteur de l’élément nutritif
aussi important que le Cu+ et le Fe.
La séparation des
protéines plasmatiques pour leur étude à été réalisée pour la première fois
dans les années 1920, mais fractionnement à grande échelle, permettant de les
utiliser séparément, date de la seconde guerre mondiale. On peut ainsi utiliser
des solutions d’albumine comme substance temporaire du sang lors des
transfusions sanguines, ou injecter de gammaglobuline pour la protection à
court terme contre des malades ; des protéines sanguines sont également
employées pour lutter contre l’hémophilie.

Appelé aussi hématie
ou érythrocytes sont des cellules le plus nombreuses du sang (99%), ont
à la forme particulière de disque très flexible et biconcave mesurant
approximativement 7,5 µm de diamètre. Comme leur nom indique, ils sont de
couleur rouge comme étant très nombreux, ils donnent leur couleur au sang et
servent à transporter l’oxygène et le CO2.
Les GR sont des
cellules sanguines, les plus nombreuses ;1mm3 du sang en
contient environ 5.000.000mm3.
Ce sont de cellules
qui ne contiennent pas de noyau chez l’homme et la plupart des autres
mammifères et qui sont essentiellement constitués d’Hb(Hémoglobine). Sur sa
paroi, on trouve les Ag ou agglutinogènes naturelles qui sont responsable de la
détermination de GS. Il s’agit d’une protéine riche en fer qui sert à
transporter l’oxygène de poumons aux tissus périphérique où elle prend en
échange une partie de CO2 pour la ramener aux poumons.

C’est elle qui donne
au sang sa couleur rouge aux GR qui sont fabriqués en permanence par la moelle
osseuse.
Les nombres de GR
varient au tour de 5.000.000/mm3 chez l’homme et de 4.500.000/mm3
chez la femme.

Les GB ou Leucocytes
sont aussi de cellule sanguine.
Ils ne sont pas
colorés comme de GR, ils font partie des agents qui défendent l’organisme
humain contre les microbes entraînant les infections.
Les GB ou Leucocytes
sont des cellules qui constituent avec les érythrocytes (ou GR) et les
thrombocytes (ou plaquettes) les éléments figurés du sang, leur forme et leur
dimension varient selon le type de leucocytes (ou GB) comme leur nombre dans la
proportion de 4.000 à 10.000 GB/mm3.
Si le nombre de GB
est augmenté ; supérieur à 10.000/mm3 on parle de l’hyperleucocytoses,
et si le nombre est diminué, inférieur à 4.000/mm3 on parle de leucopénie.
Et on retrouve en nombre élevé chez les nourrissons. On distingue deux (2)
catégories de GB dont l’origine et les fonctions physiologiques sont
différentes les unes des autres.

ü  Les
polynucléaires ou les granulocytes
(Neutrophile,
Eosinophile et Basophile) ;
ü  Les
mononucléaires ou les agranulocytes
(Lymphocytes et
Monocyte).

Le granulocyte joue
un rôle dans la lutte contre les bactéries, les parasites (Neutrophile et
Eosinophile) et dans la régulation de la circulation sanguine dans l’endroit où
s’exercent les différentes actions antigénique localisé (Basophile).
Les monocytes
interviennent dans la défense de l’organisme contre les corps étranger, ils
sont capables de transformer en dehors du courant sanguin ou ils peuvent
devenir des histiocytes, macrophages etc.…




a.    Polynucléaire
neutrophile
Le polynucléaire neutrophile
est une cellule de forme arrondie et d’un diamètre de 12 à 14 µm ; le
cytoplasme est acidophile ; avec granulation brunâtre très fines ;
d’où le nom impropre  de polynucléaire,
le calcul du nombre de lobe nucléaire constitue la formule d’Arneth intéressante
dans certains états pathologiques.
En présence de
nombreuse forme jeune non segmentée, la courbe présente une décision à
l’extrême gauche (leucémie) ; à gauche (infection) ; la déviation à
droite en cas de nombreux granulocytes hyperségmentés (acide pernicieuse).

b.    Polynucléaire
éosinophile
Le Polynucléaire  éosinophile est
une cellule de forme arrondie et d’un diamètre de 12 à 16 µm ; le
cytoplasme est acidophile  et rempli de grosse granulation rouge-orangés
caractéristiquement serré les unes contre les autres. Le noyau est claire et
comporte en moyenne deux (2) lobes au moment difficile à observer, les
granulations peuvent le recouvrir.

c.    Polynucléaire
basophile
Le Polynucléaire  basophile est
une cellule de forme arrondie et d’un diamètre de 10 à 14 µm ; les
granulations dont irrégulières grossièrement polygonale, noir  foncée entachée d’encre recouvrant le
cytoplasme et le noyau de façon anarchique, le noyau en cocher ;
trifolié ; est masqué par des granulations.

a. Lymphocytes :
est une cellule arrondie présente dans le sang, la lymphe et les organes
lymphoïdes. Leur taux est sensiblement plus élevé chez l’enfant que dans cette
première année à plus de lymphocyte que de polynucléaire. On distingue 2 types
de lymphocyte selon leur taille et leur aspect.



a.1.Petit lymphocyte :
est une cellule dont le diamètre varie entre 10 à 12 µm  aussi gris qu’une
hématie, est formée essentiellement d’un noyau foncé ronde ovale ou réniforme
et occupe presque toute la cellule.
a.2.Grand lymphocyte :
est une cellule de forme régulière dont le diamètre varie entre 10 à 15 µm possède
un cytoplasme dense renferment de grosse granulation arrondie et violette.
Son noyau central est
légèrement excentrique d’aspect pâteux. La fabrication des lymphocytes a lieu
dans les tissus lymphocytes à savoir :
ü  Le
ganglion lymphatique, la rate, le thymus et en partie dans la moelle osseuse,
le lymphatique via les vaisseaux lymphatiques et canal thoracique. La fonction
essentielle du lymphocyte est d’ordre immunitaire ; reconnaissance
d’antigène et sécrétion d’anticorps, ce rôle est également dévolu aux
plasmocytes absents en principe du sang normal.

b.
Le monocyte :
Est une grande cellule de 12 à 15 µm de
diamètre ; ils ont la forme irrégulière présente dans le sang ; la
moelle et les tissus. Il s’agit des cellules de grande taille à cytoplasme
abondant contenant une poussière définie granulation du grisâtre et quelques
vacuoles, le noyau très volumineux est en coché ; souvent en forme de E.
La fonction
principale des monocytes est d’assurer la défense de l’organisme contre
certaine agent pathogène et l’élimination de cellule endommagé dans les tissus
où il se transforme en cellule macrophage mobile ; les histiocytes.

Les plaquettes ou
thrombocytes
sont des petits éléments cytoplasmique à
nucléaire provenant de la fragmentation de mégacaryocyte (produit 3000 à 4000
plaquettes) c’est une cellule géante de la moelle hématopoïèse.
Les plaquettes ont la
forme de petits disques biconvexes ronde ou légèrement ovalaire, leur diamètre
est de 2 à 4µm, leur épaisseur est entre 0,5µm et 1µm, et leur volume est entre
6 à 9µm3. Les plaquettes sont constituées d’une membrane avec un
cytoplasme, elles n’ont pas de noyau, ni d’acide désoxyribonucléique (ADN) mais
contiennent des granulations azyrophiles.

Les plaquettes
sanguines sont très fragiles et se désintègrent facilement au contact d’un
corps étranger pour l’immobiliser et facilite ainsi la phagocytose par le
leucocyte, le nombre de plaquette varie entre 150.000 à 300.000/mm3.
Si le nombre de
plaquette(ou thrombocyte) est diminué c à d <150.000mm3, on parle
de thrombocytopénie ; et si le nombre augmente càd >300.000mm3,
on parle de thrombocytose.

I.4.
Rôle du sang.
A quoi sert le sang ?
Le sang est
essentiellement un moyen de transport. Il remplie d’importantes fonctions de
l’organisme. En effet, le sang joue comme rôle de (d’) :
ü  Apporter
à toutes les cellules de l’organisme l’oxygène dont elles ont besoin pour
fonctionner (GR) se chargent d’oxygène au niveau des poumons grâce à la
respiration, puis fournissent l’oxygène aux autres cellules au fur et à mesure
de leur trajet ;
ü  Apporter
aux cellules les nutriments fournis par la digestion des aliments ;
ü  Se
débarrassé les cellules de déchet produit par leur fonctionnement (par
ex :CO2), qui sont ensuite filtré par les reins et éliminer par
l’appareil urinaire.

I.4.1.Remarque
ü  Le
sang permet de faire circuler les agents de défense de l’organisme (les Ac et
les lymphocytes dans tout le corps pour pouvoir lutter contre les
infections) ;
ü  Il
nous permet aussi de déterminer et de distinguer chaque type de GS.











Les groupes sanguins
érythrocytaires(GS)
sont définies comme ensembles
d’antigènes (Ag) situés à la surface de GR, caractéristique d’un individu et
invariable pendant toute la vie.
Il existe de
nombreuses substances des groupages sanguins, les plus importants en terme
notamment de risque transfusionnel sont les systèmes ABO et Rhésus, sont aussi,
historiquement les premiers à s’avoir été découvertes.
L’identification du
groupe sanguin érythrocytaire (GS) dans le système ABO et du facteur rhésus est
connue obligatoirement avant toutes transfusions sanguines.

La découverte des
groupes sanguins érythrocytaires coïncide dès le début du XXe siècle
(20es), on la doit à KARL LANDSTEINER. En 1900 révèle a vienne (Autriche). Le
premier système en présence de sang de sujet des différents individus, il
constate que le sérum des uns agglutine ou non les GR des autres. Les individus
peuvent être ainsi rangés en quatre (4) groupes (A, B, AB et O). Cette
découverte fondamentale constitue le point de départ d’immuno-hématologie,
c’est-à-dire d’immunologie des cellules sanguines, qui serra suivi beaucoup
plus tard par celle des constituants sériques.
C’est aussi la
naissance d’une discipline voisine, l’immunogénétique qui se consacre à la
transfusion héréditaire des caractères sanguins dans la famille et dans la
population.
Mais avant tout, la
découverte d’une compatibilité(ou d’une incompatibilité) entre deux(2) sang
permets à la transfusion sanguines d’obtenir droit de cité. Il a défini encore
trois(3) catégories d’individus ; ceux qui font partie du groupe sanguin
érythrocytaire maintenant appelé O, ont des globules qui ne sont jamais
agglutinés (absence d’agglutination à la surface de GR), mais ont un plasma qui
agglutine tous les autres globules. Agglutinable O provient de l’allemand ohne
(sans) c’est-à-dire sans agglutinogènes(Antigènes).


Deux (2) autres
groupes sanguins érythrocytaires que nous appelons maintenant A et B ont tous
les deux des GR des sujets du premiers groupes (A) étant agglutinés par sérum
de sujet appartenant au second groupe (B) et inversement.
 En 1902, deux (2) élèves de LANDSTEINER ;
Alfred Von DECASTELLO et Adriano STURLI ; ont décrit un quatrième (4ème)
groupe dont le Sérum n’agglutinait aucun groupes connu mais dont les globules
étaient agglutinés par le Sérum de trois autres groupes ; il s’agissait du
groupe AB dont le Sérum ne contient aucune agglutinine(Anticorps) et dont les
GR portent les deux agglutinogènes(Antigènes) A et B depuis cette époque, la
terminologie à bien changer. Nous parlons d’antigènes et nous savons que les
agglutinines sont appelée également aussi immunoglobulines(Ig) car isolés des
historiques de « globuline »par opposition à l’albumine, le terme
d’agglutines est toujours utilisé dans l’expression « d’agglutinine
irrégulière»(ou Ac irrégulière).
L’Antigène (Ag à
c’est une substance étrangère du corps humain ; en effet, le sujet du
groupe A possède l’Ag A, le sujet du groupe B possède l’Ag B, le sujet du
groupe AB possède à la fois l’Ag A et B tan disque celle du groupe O ne possède
aucun Ag à sont tour.
L’Anticorps(Ac)
c’est une substance naturelle du corps humain ; en effet, un sujet possède
dans son sérum les Ac dirigés contre les Ag dont-il est dépourvu ; or que
le sujet du groupe A contient des Ac contient des Ac anti-B ; le sujet du
groupe B contient des Ac anti-A, le sujet du groupe O contient à la fois des Ac
anti-A et anti-B tandis que celle du groupe AB ne contient aucune Ac à son
tour.






Le système Rhésus(Rh)
se définit par la présence ou l’absence d’agglutination de l’antigène’’D’’à la
surface des GR.
On est rhésus positif
(Rh+) si on possède l’antigène’’D’’à autres que les Ag D, C, c, E et e.
L’existence du
facteur rhésus fut découverte par LANDSTEINER, au cours d’expériences sur les
réactions immunitaires du Lapin.
Dans un premier
temps, des Lapins reçoivent plusieurs fois des injections de sang provenant
d’un singe rhésus appelé Macacus rhésus.
Landsteiner eut
l’idée de tester l’effet du sérum de ces lapins immunisés sur du sang humain.
Il constata, après un grand nombre d’essais que le sang de 85% environ des
sujets testés était agglutiné par le sérum du lapin, les 15% restants ne
provoquant aucune réaction. On pouvait donc en conclure qu’environ 85% des
sujets possédaient, dans leur sang, un facteur analogue à celui du rhésus. Ils
furent appelés rhésus positifs ou Rh+ et les autres rhésus négatifs ou Rh-.
Le facteur rhésus se
transmet comme un caractère mendélien dominant avec les allèles (Rh+) et (rh-),
donnant les génotypes (Rh+,Rh+),(Rh+,rh-) et (rh-rh-).
Dans les
transfusions, il est souhaitable de na pas donner du sang Rh+ à un receveur
Rh-, sinon celui-ci produit des anticorps(Ac) « anti-Rh+»qui rendront
une autre transfusion de sang Rh+ dangereuse.
Le facteur rhésus
intervient aussi dans le cas d’une mère Rh- et d’un père Rh+. Si la mère porte
un enfant Rh+, le sang maternel produit peu à peu des facteurs anti-Rh+. Ces
anticorps ne deviennent importants qu’à partir du 3éme enfant. Ils peuvent
alors provoquer, chez le nouveau-né, un ictère hémolytique (drépanocytose,
malaria, fièvre rémittente bilieuse) grave. Heureusement de tels accidents sont
beaucoup moins fréquents que ne le ferait prévoir l’hérédité mendélienne. On
peut d’ailleurs les prévenir par un accouchement prématuré et un changement
total du sang du nouveau-né.
En réalité, le
problème du facteur rhésus est moins simple que nous ne l’avons exposé ici, car
il en existe de nombreuses formes différentes.



II.5.1.
DETERMINATION DES GROUPES SANGUINS ERYTHROCYTAIRES DU SYSTEME ABO
Il existe deux (2)
techniques couramment utilisées pour déterminer les groupes sanguins. Les deux
(2) épreuves sont complémentaires. La première épreuve dite directe ou méthode
de BETH-VINCENT met en évidence les antigènes (Ag) érythrocytaires en utilisant
les antisérums spécifiques. La deuxième épreuve dite sérique ou méthode
indirecte se base sur la mise en évidence des anticorps (Ac) naturels présents
dans le sérum en utilisant l’hématies-test A et B. c’est la méthode de
SIMONIN-MICHON. Les deux épreuves doivent aboutir au même résultat. Dans la
méthode directe, les hématies doivent être lavées trois (3) fois dans du sérum
physiologique et en suspension entre 2-5%.
Mais, notre exposer se limite sur la
méthode directe ou méthode de BETH-VINCENT.


EPREUVE


BETH-VINCENT(ou
GLOBULAIRE)


SANG
A
EXAMINEE


GLOBULES ROUGES DU SUJET

   REACTIFS

GROUPES


Anti-A


Anti-B


Anti-AB


Anti-D

A

http://www.soins-infirmiers.com/images/transfusion_sanguine/agglutination.gif

http://www.soins-infirmiers.com/images/transfusion_sanguine/pas_agglutination.gif

http://www.soins-infirmiers.com/images/transfusion_sanguine/agglutination.gif

+/-

B

http://www.soins-infirmiers.com/images/transfusion_sanguine/pas_agglutination.gif

http://www.soins-infirmiers.com/images/transfusion_sanguine/agglutination.gif

http://www.soins-infirmiers.com/images/transfusion_sanguine/agglutination.gif

+/-

AB

http://www.soins-infirmiers.com/images/transfusion_sanguine/agglutination.gif

http://www.soins-infirmiers.com/images/transfusion_sanguine/agglutination.gif

http://www.soins-infirmiers.com/images/transfusion_sanguine/agglutination.gif

+/-

O

http://www.soins-infirmiers.com/images/transfusion_sanguine/pas_agglutination.gif

http://www.soins-infirmiers.com/images/transfusion_sanguine/pas_agglutination.gif

http://www.soins-infirmiers.com/images/transfusion_sanguine/pas_agglutination.gif

+/-

LEGENDE :
   
+/-
: Présence ou Absence  d’agglutinations
http://www.soins-infirmiers.com/images/transfusion_sanguine/agglutination.gif ou + : Présence d’agglutinations.   http://www.soins-infirmiers.com/images/transfusion_sanguine/pas_agglutination.gif ou - : Absence d’agglutinations.    
II.5.2.
TEST DE COMPATIBILITE
II.5.2.1.
GENERALITES.
Le but du Test de
Compatibilité est de prévenir une réaction transfusionnelle en mettant en
évidence des anticorps(Ac) et des antigènes(Ag),de façon à assurer au receveur
le bénéfice d’une bonne transfusion à risque diminué.
Il détecte aussi des
receveurs et des donneurs faussement classés A,B ou AB.
Il se compose de deux (2) parties :
ü  Le
test de compatibilité majeur et,
ü  Le
test de compatibilité mineur.
a.
Le test de compatibilité majeur.
Par Le test de
compatibilité majeur on recherche chez le receveur des anticorps (Ac) dirigés
contre les antigènes (Ag) du donneur.
Si le receveur a dans
son Sérum des anticorps  correspondant
aux antigènes portés par les érythrocytes(GR) du donneur, l’hémolyse
(destruction) des érythrocytes(GR) transfusés est probable ; l’effet d’une
telle transfusion n’est pas seulement nul ; il peut y avoir une réaction
transfusionnelle grave et décès du malade.
Ce test consiste à
mélanger un échantillon de Sérum du receveur avec un échantillon des hématies
(GR) du donneur in vitro, en recherchant une hémolyse ou une agglutination.
b.
Le test de compatibilité mineur.
Par le test de
compatibilité mineur on recherche chez le donneur des anticorps dirigés contre
les antigènes du receveur ; si le plasma du donneur contient de tels
anticorps, on devra donner son concentré érythrocytaire
Ce test diffère du
test de compatibilité majeur par le fait qu’ici on mélange l’échantillon du
Sérum du donneur avec celui des hématies (GR) du receveur
Compte tenu du fait
que le test mineur détecte les anticorps du donneur et que ceux-ci seront très
dilués dans le torrent circulatoire du receveur, on néglige souvent le test de
compatibilité mineur. Dans l’exécution du test on décrira donc seulement le
test majeur.
Pour les deux (2)
parties du test la procédure de la technique reste la même.

II.5.3.
TEST DE COOMBS.
II.5.3.1.
GENERALITES.

Le test de Coombs set
à dépister les anticorps.
Un individu peut
avoir des anticorps(Ac) contre des antigènes(Ag) qu’il ne possède pas ou qu’on
n’a pas détectés en faisant le groupage sanguin (par exemple ABO, etc…).
La production de ces
anticorps peut survenir en cas de grossesse [immunisation de la mère par un
antigène (Ag) présent sur les globules rouges (GR) du fœtus et hérités du père]
ou à la suite d’une transfusion.

a.           
Test de Coombs Direct.
Il sert à détecter
des anticorps (Ac) (Par exemple Anti-D) déjà fixés à la surface des
érythrocytes (ou hématies ou GR) qui portent les antigènes (Ag) correspondant.
On l’effectue le plus
souvent chez les nouveau-nés, porteurs de l’antigène érythrocytaire Rh(D),
hérité uniquement du père ; cet antigène Rh(D) immunise la mère
rhésus-négative qui répond par la production d’anticorps (agglutinines) anti Rh
(anti-D) : ceux-ci traversent la barrière placentaire et se fixent sur les
GR de l’enfant, ce qui aboutit à leur destruction.
Il peut exister
d’autres anticorps qui sont aussi dangereux que les anti-D mais ils sont
heureusement moins fréquents.

b.          
Test de Coombs Indirect.
Il sert à détecter
des anticorps libres dans le sérum.
Pour cela il faut
avoir des GR, porteuse de l’antigène correspondant. Le cas le plus fréquent est
celui de la mère rhésus-négative qui porte un enfant de père Rhésus-positif. Si
l’enfant a hérité du facteur Rhésus de son père, la mère peut produire des anti-Rhésus
(Anti-D) dirigés contre les GR du fœtus qu’elle porte.
Avec le test Coombs
Indirect on peut suivre l’augmentation de ces anticorps dans le Sérum de la
mère pendant la grossesse et intervenir si leur quantité devient dangereuse
pour l’enfant.






































La présente étude a
été menée au quartier dit KINGASANI II, précisément dans la commune de KIMBANSEKE.
Les échantillons de
sang ont été récolté et analyser au Laboratoire du Centre Hospitalier de KINGASANI
II durant la période allant du 25 Octobre au 22 Novembre 2012

III.1.2.
ECHANTILLONNAGE
Nous avons réalisé
notre étude sur un échantillon de sang de 50 sujets(ou individus) constitués de
la population de sexe et d’âge confondus habitant le quartier KINGASANI II dans
la commune de KIMBANSEKE, dans la ville province de KINSHASA.
III.1.3.
MATERIELS ET REACTIFS.
ü  Gant ;
ü  Ouate ;
ü  Lancette
ou Vaccinostyle ou aiguille stériles ;
ü  Plaque
d’opaline (ou Bioplaque) ;
ü  Sérum-test ;
Anti-A,
          Anti-B,
          Anti-AB,
          Anti-D
ü  Baguette
en verre ou plastic (ou agitateur électronique) ;
ü  Rhésuscope.

III.2.1.
DETERMINATION DES FROUPES SANGUINS
Il existe deux (2)
méthodes pour déterminer le groupe sanguin ; il s’agit de la méthode
directe ou méthode de BETH-VINCENT et la méthode indirecte ou la méthode de
SIMONIN MICHON.
Mais notre exposé se limite à la méthode
directe ou méthode de BETH-VINCENT.


A.   PRINCIPE.
Cette méthode
consiste à mettre en évidence les antigènes (Ag) du système ABO présents sur
les hématies, par l’agglutination de ces dernières en présence des anticorps
(Ac) correspondants
TECHNIQUE.
·        
Désinfecter l’endroit à
prélever (la pulpe du doigt ou talons ou lobule de l’oreille) ;
·        
Piquer d’un coût sec à
l’aide d’une lancette (ou Vaccinostyle) ou aiguille stériles ;
·        
Placer différemment quatre
(4) gouttes de sang sur la plaque d’opaline (ou Bioplaque) ;
·        
Ajouter de façon aussi
différée sur chaque gouttes, une goutte des anti-Sérums :anti-A dans le
1er godet, anti-B dans le second godet, anti-AB dans la 3ère godet
et dans le dernier godet anti-D ;
·        
Mélanger à l’aide d’un
agitateur électrique ou baguette en verre ou en plastic par un mouvement
rotatoire pendant au moins deux (2) minutes ;
·        
Observer la présence ou
l’absence d’agglutination dans les godets (à vérifier si l’on veut ? par
un examen à frais au microscope).














Les résultats de
notre étude ont été portés sur 50 individus de tout âge et sexe confondu
habitant au quartier dit KINGASANI II dans la commune de KIMBANSEKE, chez qui
les échantillons du sang ont étaient prélevés et analysés immédiatement, enfin
de répartir le différent type de groupe sanguin et rhésus que ses individus
portent.
En effet, les
résultats obtenus dans notre étude sont repris dans les tableaux
ci-après :

Tableau I : REPARTITION DE
L’ECHANTILLON EN AGE ET SEXE.

TRANCHE D’AGE/AN

NOMBRE
DE CAS

SEXES

M

F

0 - 10

34(68%)

21(42%)

13(26%)

11 – 21

2(4%)

1(2%)

1(2%)

22 – 32

2(4%)

1(2%)

1(2%)

33 – 43

2(4%)

0(0%)

2(4%)

≥ 44

10(20%)

5(10%)

5(10%)

Total

50(100%)

28(56%)

22(44%)

LEGENDE :
M :
Masculin      F : Féminin
Le tableau I nous
montre l’effectif de 50 individus étudiés soit 100 % ; le sexe
masculin sont répartis à la 1ére position avec 28 cas soit 56 % tandis que
le sexe féminin arrive dernière position avec 22 cas soit 44%.
La tranche d’âge de
0-10 à été vraiment intéressé notre étude avec 34 cas soit 68% ; suivi de
≥41 avec 10 cas soit 20% que seul du 11-21,22-32 et 33-43 avec 2 cas soit 4%.






GS



NOMBRE DE CAS


SEXES

M

F

A

8 (16%)

5 (10%)

3 (6%)

B

13 (26%)

6 (12%)

7 (14%)

AB

2 (4%)

2 (4%)

0 (0%)

O

27 (54%)

15 (30%)

12 (24%)

Total

50 (100%)

28 (56%)

22 (44%)

LEGENDE :
M : Masculin    F : Féminin      GS : Groupe Sanguin
Le tableau II nous
montre que le groupe O est placé (ou classer) en 1ére position avec 27 cas soit
54%, suivi du groupe B avec 13 cas soit 26%, suivi du groupe A avec 8 cas soit
16% et le groupe AB en dernière position avec 2 cas soit 4%. Le sexe masculin
occupe la 1ère position avec 28 cas soit 56% tandis que le sexe
féminin est arrivé en dernière position avec 22 cas soit 44%.



SEXES


EFFECTIF

RHESUS

POSITIF

NEGATIF

MASCULIN(M)

28(56%)

28(56%)

0(0%)

FEMININ(F)

22(44%)

22(42%)

0(2%)

Total

50(100%)

50(98%)

0(2%)

LEGENDE :
GS :
Groupe Sanguin
Le tableau III nous
montre que les sujets Rhésus positif sont majoritaires avec 50 cas soit 100%
par rapport au sujet rhésus négatif qui est moins fréquent avec 0 cas soit 0%.
Le sexe masculin représente 28 cas soit 56% contre 22 cas soit 44% de sexe
féminin.


Les résultats de
notre étude, qui consistait à la détermination des groupes sanguins
érythrocytaires du système ABO de 50 individus habitant le quartier dit KINGASANI
II dans la Commune de KIMBANSEKE, ville province de KINSHASA, nous révèlent ce
qui suit :
Après l’analyse
statistique, nous avons trouvés les résultats ci-après :
Le tableau I nous
montre l’effectif de 50 individus étudiés soit 100 % ; le sexe
masculin sont répartis à la 1ére position avec 28 cas soit 56 % tandis que
le sexe féminin arrive dernière position avec 22 cas soit 44%.
La tranche d’âge de
0-10 à été vraiment intéressé notre étude avec 34 cas soit 68% ; suivi de
≥41 avec 10 cas soit 20% que seul du 11-21,22-32 et 33-43 avec 2 cas soit 4%.
Le tableau II nous
montre que le groupe O est placé (ou classer) en 1ére position avec 27 cas soit
54%, suivi du groupe B avec 13 cas soit 26%, suivi du groupe A avec 8 cas soit
16% et le groupe AB en dernière position avec 2 cas soit 4%. Le sexe masculin
occupe la 1ère position avec 28 cas soit 56% tandis que le sexe
féminin est arrivé en dernière position avec 22 cas soit 44%.
Le tableau III nous
montre que les sujets Rhésus positif sont majoritaires avec 50 cas soit 100%
par rapport au sujet rhésus négatif qui est moins fréquent avec 0 cas soit 0%.
Le sexe masculin représente 28 cas soit 56% contre 22 cas soit 44% de sexe
féminin.
Pour des raisons
multiples, la détermination du GS est très importante dans le monde car
l’existence d’une anémie sévère exige toujours une transfusion sanguine.
En comparant ce
travail avec d’autres travaux antérieurs, nous constatons que le groupe O ou
zéro reste toujours dominant et le groupe AB reste récessif.









Après analyse de
notre étude qui consistait à déterminer et à répartir les groupes sanguins
érythrocytaires du système ABO et Rhésus de 50 individus habitant le quartier
KINGASANI II dans la Commune de KIMBANSEKE, Ville province de KINSHASA en R.D.
Congo.
Les résultats obtenus
indiquent la prédominance de la population masculine dans l’étude. Elle
représente 28 cas soit 56% contre 22 cas soit 44% de féminin. Et selon la
répartition des groupes sanguins dans nos populations, le groupe O présente
toujours une fréquence très élevée avec 27 cas soit 54%. Le sexe masculin sont
répartis à la première position avec 15 cas soit 30% par rapport au sexe
féminin avec 12 cas soit 24%. Et toute la population d’étude est retrouvée avec
le Rhésus positif.
En comparant avec
d’autres études, le groupe AB nous donne le taux très faible dans le monde
entier. Que tout individu puisse connaitre son groupe sanguin et Rhésus, se
très important parce que, en cas d’anémie sévère la solution compensatoire est
la transfusion sanguine.

















1.    ANONYMES,
2009, Guide pratique de biologie, groupe sanguin.
2.    BERNARD
et GENEVIEVE PIERRE, 1984, Dictionnaire médical pour les régions tropical,
ed. St Paul, Kinshasa.
3.    CNTS,
Mai 2002, Manuel de formation en transfusion sanguine, Kinshasa, P27-28.
4.    DUFEY
F, 1986, Anatomie et physiologie humaine, Kinshasa, P69-70.
5.    M.Nyst-Ilunga
N-G Rauhaus-Nseka K, Aout 1991, Guide pratique de la transfusion,
Kinshasa, P84-85 ; 95-96.
6.    MUNSIMBELE,
2011, Evaluation de taux de répartition des Groupes Sanguins du système ABO et
Rhésus chez les Kinois.















                                              






ANNEXE
Résultat globaux








Age

Sexe

GS

Rh

1

10

F

A

+

2

2,6

F

O

+

3

73

M

O

+

4

59

F

O

+

5

17m

F

O

+

6

7m

M

O

+

7

25

M

AB

+

8

23

F

B

+

9

3

F

A

+

10

59

F

B

+

11

54

M

O

+

12

1,2

M

O

+

13

33

F

O

+

14

4m

M

B

+

15

3

F

B

+

16

7m

M

O

+

17

8m

M

A

+

18

47

F

A

+

19

1,8

M

B

+

20

1,1

F

B

+

21

5

F

O

+

22

4

F

O

+

23

2

F

B

+

24

5

M

O

+

25

2

M

O

+


Age

Sexe

GS

Rh

26

70

M

A

+

27

1,1

F

B

+

28

9

M

O

+

29

70

M

A

+

30

6

M

A

+

31

76

M

B

+

32

1,8

M

B

+

33

5

M

O

+

34

2

M

B

+

35

13

M

O

+

36

5

F

B

+

37

6

M

A

+

38

6

M

O

+

39

10

F

O

+

40

51/2

M

O

+

41

6m

F

O

+

42

3

M

B

+

43

2

M

O

+

44

1,7

M

AB

+

45

18

F

O

+

46

34

F

O

+

47

4

M

O

+

48

48

F

O

+

49

7m

M

O

+

50

46

F

O

+





LEGENDE
m : mois

TABLE DE MATIERE

EPIGRAPHIE…………………………………………………………………………………………...I
DEDICACE…………………………………………………………………………………………….II
REMERCIEMENTS…………………………………………………………………………………..III
PLAN DU TRAVAIL………………………………………………………………………………….IV
LISTE DES ABREVIATIONS………………………………………………………………………..V
PREMIERE PARTIE : PARTIE BIBLIOGRAPHIQUE OU LITTERATURE
 TABLE
DES MATIERES…………………………………………………………………………24