REPUBLIQUE
DEMOCRATIQUE DU CONGO
DEMOCRATIQUE DU CONGO
MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE
HOPITAL
PROVINCIAL GENERAL DE REFERENCE DE KINSHASA
PROVINCIAL GENERAL DE REFERENCE DE KINSHASA
EX-MAMA YEMO
“HPGRK”
EXPOSE : FORMATION EN KINESITHERAPIE RESPIRATOIRE LA REEDUCATION DES PATHOLOGIES RESPIRATOIRES DE L’ADULTE |
Jules Florent BABA MAYIMONA MANANGA
INFIRMIER CHEF DE SERVICE
LA RÉÉDUCATION RESPIRATOIRE
LE TUBE
RESPIRATOIRE
RESPIRATOIRE
La fonction
essentielle de l’Appareil respiratoire est l’HEMATOSE. Ce sont les échanges des
Gaz sanguins à travers la membrane respiratoire.
essentielle de l’Appareil respiratoire est l’HEMATOSE. Ce sont les échanges des
Gaz sanguins à travers la membrane respiratoire.
L’absorption de l’oxygène (O) et le rejet du Gaz
Carbonique (CO2) permettent de maintenir les taux des gaz dans le
sang à des valeurs physiologiques.
Carbonique (CO2) permettent de maintenir les taux des gaz dans le
sang à des valeurs physiologiques.
Pa O2. 60 – 100 mmHg
Vaisseaux sanguins.
Pa CO2. 32 – 45 mmHg
Pour assurer son rôle, la respiration agit suivant deux systèmes convectifs
:
:
-
La ventilation assurée par la structure
thoraco-pulmonaire qui permet l’entrée et la sortie de l’air dans les
poumons ;
La ventilation assurée par la structure
thoraco-pulmonaire qui permet l’entrée et la sortie de l’air dans les
poumons ;
-
Et la circulation pulmonaire qui permet le
transport des gaz après leur diffusion au niveau de l’interface
alvéolo-capillaire.
Et la circulation pulmonaire qui permet le
transport des gaz après leur diffusion au niveau de l’interface
alvéolo-capillaire.
La mécanique respiratoire est illustrée par la
ventilation.
ventilation.
Un cycle respiratoire est découpé en deux (2)
parties :
parties :
-
Un temps inspiratoire ;
Un temps inspiratoire ;
-
Un temps expiratoire.
Un temps expiratoire.
Le mécanisme de la ventilation est composé par :
a)
Une composante passive qui est semblable à un
SOUFLET déformable fait :
Une composante passive qui est semblable à un
SOUFLET déformable fait :
-
Du Thorax ;
Du Thorax ;
-
De la plèvre qui unit les poumons au
thorax ;
De la plèvre qui unit les poumons au
thorax ;
-
Des voies aériennes qui assurent le transport
des gaz jusqu’aux alvéoles.
Des voies aériennes qui assurent le transport
des gaz jusqu’aux alvéoles.
I.
Les éléments
passifs :
Les éléments
passifs :
b)
Une composante active constituée des MUSCLES
respiratoires qui ont pour action l’augmentation du volume de l’appareil
thoraco-pulmonaire qui de ce fait entraîne l’entrée de l’air dans les poumons c’est
(INSPIRATION).
Une composante active constituée des MUSCLES
respiratoires qui ont pour action l’augmentation du volume de l’appareil
thoraco-pulmonaire qui de ce fait entraîne l’entrée de l’air dans les poumons c’est
(INSPIRATION).
-
L’expiration est passive au repos par simple
retour élastique dès que la contraction
des muscles inspirateurs s’arrête………..
L’expiration est passive au repos par simple
retour élastique dès que la contraction
des muscles inspirateurs s’arrête………..
Les muscles dits respiratoires sont repartis en 3 grands
groupes :
groupes :
-
Le diaphragme ;
Le diaphragme ;
-
Les muscles intercostaux et les muscles dits
accessoires ;
Les muscles intercostaux et les muscles dits
accessoires ;
-
Les muscles de la paroi abdominale.
Les muscles de la paroi abdominale.
Physiologiquement, les muscles respiratoires se
distinguent en inspirateurs et expirateurs.
distinguent en inspirateurs et expirateurs.
Il faut par ailleurs savoir que l’inspiration est un
phénomène ACTIF tandis que l’expiration est un phénomène PASSIF.
phénomène ACTIF tandis que l’expiration est un phénomène PASSIF.
Aussi, il faut retenir que les muscles respiratoires
diffèrent des autres muscles par le fait qu’ils :
diffèrent des autres muscles par le fait qu’ils :
-
Se contractent de manière rythmique tout au
long de la vie 24h sur 24h car leur défaillance mettrait la vie en danger ;
Se contractent de manière rythmique tout au
long de la vie 24h sur 24h car leur défaillance mettrait la vie en danger ;
-
Sont à la fois sous le contrôle volontaire et
involontaire de l’individu (du système nerveux centrale);
Sont à la fois sous le contrôle volontaire et
involontaire de l’individu (du système nerveux centrale);
-
Agissent contre les charges élastiques et
résistives du système thoraco-pulmonaire à l’opposé des autres muscles qui
agissent surtout contre l’inertie ;
Agissent contre les charges élastiques et
résistives du système thoraco-pulmonaire à l’opposé des autres muscles qui
agissent surtout contre l’inertie ;
-
Pour votre information :
Pour votre information :
ü La
contraction des muscles intercostaux externe entraînes l’élévation des côtes
qui aboutit à l’INSPIRATION ;
contraction des muscles intercostaux externe entraînes l’élévation des côtes
qui aboutit à l’INSPIRATION ;
ü Tandis que la
contraction des muscles intercostaux interne abaissent les côtes avec comme
résultat l’EXPIRATION.
contraction des muscles intercostaux interne abaissent les côtes avec comme
résultat l’EXPIRATION.
Définition de
la respiration
la respiration
C’est l’ensemble des phénomènes
physiques (ventilation), biochimiques (hématose) ou nerveux qui favorisent les
échanges gazeux de l’oxygène (O2) et du gaz carbonique (CO2) à travers la paroi
alvéolo-capillaire (poumon/sang) et vasculo-cellulaire (sang/cellules).
physiques (ventilation), biochimiques (hématose) ou nerveux qui favorisent les
échanges gazeux de l’oxygène (O2) et du gaz carbonique (CO2) à travers la paroi
alvéolo-capillaire (poumon/sang) et vasculo-cellulaire (sang/cellules).
Les éléments
de la respiration :
de la respiration :
Toute une série
d'éléments intervient pendant la respiration, nous citerons.
d'éléments intervient pendant la respiration, nous citerons.
1)
Le nez et la bouche
Le nez et la bouche
Tout
commence par là : l'air entre dans l'organisme par le nez et la bouche.
commence par là : l'air entre dans l'organisme par le nez et la bouche.
2)
Le pharynx (avec l’épiglotte)
Le pharynx (avec l’épiglotte)
Situé
entre le nez et la trachée. Il travaille étroitement avec le larynx pour contrôler
l'ouverture et la fermeture du tube respiratoire (trachée) et du tube
digestif (œsophage).
entre le nez et la trachée. Il travaille étroitement avec le larynx pour contrôler
l'ouverture et la fermeture du tube respiratoire (trachée) et du tube
digestif (œsophage).
3)
Le larynx
Le larynx
Ferme
l'accès aux voies respiratoires pendant que la nourriture est envoyée dans le
tube digestif mais il est avant tout l'organe de la phonation et donc de
la parole (il abrite les cordes vocales).
l'accès aux voies respiratoires pendant que la nourriture est envoyée dans le
tube digestif mais il est avant tout l'organe de la phonation et donc de
la parole (il abrite les cordes vocales).
4)
La trachée
La trachée
C’est
un tuyau qui conduit l'air jusqu'aux bronches.
un tuyau qui conduit l'air jusqu'aux bronches.
5)
Les bronches
Les bronches
Sortes
des tuyaux cartilagineux dont le calibre diminue progressivement. Leur
paroi interne est tapissée des cellules qui produisent du mucus. Cet ensemble
de cellules a pour fonction de débarrasser l'air inspiré de toutes les
poussières et particules en les emprisonnant grâce au mucus et en les faisant
remonter dans la trachée à l'aide du mouvement des cils vibractiles, comme un
tapis roulant.
des tuyaux cartilagineux dont le calibre diminue progressivement. Leur
paroi interne est tapissée des cellules qui produisent du mucus. Cet ensemble
de cellules a pour fonction de débarrasser l'air inspiré de toutes les
poussières et particules en les emprisonnant grâce au mucus et en les faisant
remonter dans la trachée à l'aide du mouvement des cils vibractiles, comme un
tapis roulant.
6)
Les poumons
Les poumons
L'être
humain a deux poumons, un gauche et un droit. Les poumons reposent sur le
diaphragme et sont protégés par la cage thoracique.
humain a deux poumons, un gauche et un droit. Les poumons reposent sur le
diaphragme et sont protégés par la cage thoracique.
7)
Les bronchioles
Les bronchioles
Bronches de taille de plus en plus réduite pour donner,
en fin de parcours, les bronchioles. Petits tubes mesurant 0,5 mm de diamètres
ne contiennent pas de cartilage et conduisent l'air jusqu'aux alvéoles.
en fin de parcours, les bronchioles. Petits tubes mesurant 0,5 mm de diamètres
ne contiennent pas de cartilage et conduisent l'air jusqu'aux alvéoles.
8)
Les alvéoles pulmonaires
Les alvéoles pulmonaires
Ce
sont de minuscules poches d'air d'environ 0,2 mm de diamètre, se
trouvent au plus profond des poumons, aux extrémités des bronchioles. Un poumon
d'être humain comporte environ 300 millions d'alvéoles (soit 600 millions pour
les deux poumons). C'est à leur niveau que s'effectuent les échanges gazeux
d'oxygène et de gaz carbonique entre l'air et les globules rouges du sang.
sont de minuscules poches d'air d'environ 0,2 mm de diamètre, se
trouvent au plus profond des poumons, aux extrémités des bronchioles. Un poumon
d'être humain comporte environ 300 millions d'alvéoles (soit 600 millions pour
les deux poumons). C'est à leur niveau que s'effectuent les échanges gazeux
d'oxygène et de gaz carbonique entre l'air et les globules rouges du sang.
9)
Le diaphragme
Le diaphragme
C'est
un muscle très large, aplati et mince. Il constitue le principal muscle
inspirateur de la respiration (d'autres muscles situés entre les côtes aident
aussi à la respiration). Il se contracte en se raccourcissant et
provoque l'inspiration (l'air entre dans les poumons). Son relâchement
provoque l'expiration (l'air sort des poumons).
un muscle très large, aplati et mince. Il constitue le principal muscle
inspirateur de la respiration (d'autres muscles situés entre les côtes aident
aussi à la respiration). Il se contracte en se raccourcissant et
provoque l'inspiration (l'air entre dans les poumons). Son relâchement
provoque l'expiration (l'air sort des poumons).
L'air
contient trois gaz
contient trois gaz
L’air contient 3 gaz principaux |
Air inspiré 100 l d’air inspiré contiennent |
Air expiré 100 l d’air expiré contiennent |
1. L’Azote (N) |
Environ 79 litres d’azote |
Environ 79 litres d’azote |
2. L’Oxygène (O) |
Environ 21 litres d’oxygène |
Environ 16 litres d’oxygène |
3. Le Gaz carbonique (CO2) |
Des traces de gaz carbonique |
Environ 5 litres de gaz carbonique |
L'azote
C'est
le gaz qui constitue la majorité de l'air que nous respirons et donc de
l'atmosphère terrestre (environ 79%). On constate que nous expirons la même
quantité d'azote que celle que nous avons inspirée.
le gaz qui constitue la majorité de l'air que nous respirons et donc de
l'atmosphère terrestre (environ 79%). On constate que nous expirons la même
quantité d'azote que celle que nous avons inspirée.
L'oxygène
On
constate qu'il y a une différence entre la quantité d'oxygène inspiré
et expiré. 21 L - 16 L : nous utilisons 5 litres d'oxygène pour 100
litres d'air inspirés (soit 5%).
constate qu'il y a une différence entre la quantité d'oxygène inspiré
et expiré. 21 L - 16 L : nous utilisons 5 litres d'oxygène pour 100
litres d'air inspirés (soit 5%).
Le
gaz carbonique
gaz carbonique
On
constate qu'il y a une différence entre la quantité de gaz carbonique inspiré et expiré. Nous
rejetons 5 litres de gaz carbonique pour 100 litres d'air inspirés alors
que nous n'en avons pratiquement pas inspiré.
constate qu'il y a une différence entre la quantité de gaz carbonique inspiré et expiré. Nous
rejetons 5 litres de gaz carbonique pour 100 litres d'air inspirés alors
que nous n'en avons pratiquement pas inspiré.
Ce
qu’il faut retenir :
qu’il faut retenir :
Notre
organisme transforme l'air qu'il inspire. Il rejette la même
quantité de gaz qu'il a absorbé mais sous une forme différente. Il remplace
une partie de l'oxygène reçu par du gaz carbonique.
organisme transforme l'air qu'il inspire. Il rejette la même
quantité de gaz qu'il a absorbé mais sous une forme différente. Il remplace
une partie de l'oxygène reçu par du gaz carbonique.
LES ÉCHANGES GAZEUX
Les échanges gazeux s’effectuent à travers la membrane
alvéolo-capillaire.
alvéolo-capillaire.
-
L’O2 traverse par gradient de pression
c'est-à-dire d’une zone de haute pression vers une zone de basse pression la
membrane alvéolo-capillaire.
L’O2 traverse par gradient de pression
c'est-à-dire d’une zone de haute pression vers une zone de basse pression la
membrane alvéolo-capillaire.
LA PHYSIOPATHOLOGIE
RESPIRATOIRE
RESPIRATOIRE
-
La perturbation du système respiratoire se manifeste
généralement par une insuffisance respiratoire, qui peut être aiguë ou
chronique…
La perturbation du système respiratoire se manifeste
généralement par une insuffisance respiratoire, qui peut être aiguë ou
chronique…
-
L’insuffisance respiratoire est perçue comme
l’incapacité pour le système respiratoire de maintenir les gaz du sang dans les
proportions normales au repos.
L’insuffisance respiratoire est perçue comme
l’incapacité pour le système respiratoire de maintenir les gaz du sang dans les
proportions normales au repos.
C’est en fait
faillite du mécanisme qui assure l’HEMATOSE.
faillite du mécanisme qui assure l’HEMATOSE.
-
Elle se traduit par une HYPOXÉMIE qui ne peut ou pas
s’associer à une HYPERCAPNIE
Elle se traduit par une HYPOXÉMIE qui ne peut ou pas
s’associer à une HYPERCAPNIE
-
L’HYPOXÉMIE
L’HYPOXÉMIE
Malgré l’état stable du pH
entre 7,35 et 7,43 la pression partielle d’oxygène (Pa O2) est
inférieur à 60 mmHg quelque soit le niveau de la capnie.
entre 7,35 et 7,43 la pression partielle d’oxygène (Pa O2) est
inférieur à 60 mmHg quelque soit le niveau de la capnie.
En effet, le risque d’une insuffisance respiratoire, c’est la détresse
respiratoire aiguë ou le manque d’O2 est une menace pour l’ensemble
des tissus de l’organisme. Cette situation peut entraîner la mort du patient.
respiratoire aiguë ou le manque d’O2 est une menace pour l’ensemble
des tissus de l’organisme. Cette situation peut entraîner la mort du patient.
Dans beaucoup des pathologies pulmonaires chroniques dont
particulièrement les broncho-pneumopathies chroniques obstructives (BPCO) on
voit apparaître d’abord une Hypoxémie puis une Hypoventilation alvéolaire qui
signe l’apparition d’une hypercapnie.
particulièrement les broncho-pneumopathies chroniques obstructives (BPCO) on
voit apparaître d’abord une Hypoxémie puis une Hypoventilation alvéolaire qui
signe l’apparition d’une hypercapnie.
-
L’HYPERCAPNIE :
Pa CO2 augmente dans le sang artériel.
Supérieure à 42 mmHg
L’HYPERCAPNIE :
Pa CO2 augmente dans le sang artériel.
Supérieure à 42 mmHg
-
Hyppocratisme
digital :
due à une HYPOXEMIE CHRONIQUE (doigt petit ongles bombés en verre de montre et les
doigts en baguette de tambour signe de mauvais retour veineux). Une SATURATION
Normale pourtant avec clinique perturbée, le problème peut être CARDIAQUE et
non PULMONAIRE.
Hyppocratisme
digital :
due à une HYPOXEMIE CHRONIQUE (doigt petit ongles bombés en verre de montre et les
doigts en baguette de tambour signe de mauvais retour veineux). Une SATURATION
Normale pourtant avec clinique perturbée, le problème peut être CARDIAQUE et
non PULMONAIRE.
Insuffisance ventriculaire droite (Cœur pulmonaire
chronique) :
chronique) :
-
Œdème des MI ;
Œdème des MI ;
-
Reflux hépato-jugulaire ;
Reflux hépato-jugulaire ;
-
Turgescence de la veine jugulaire.
Turgescence de la veine jugulaire.
Respiration normale : 12 – 16 X/m ±18 X
(La Médecine est basée sur des preuves).
-
La DYSPNÉE est un
indicateur De l’insuffisance respiratoire.
La DYSPNÉE est un
indicateur De l’insuffisance respiratoire.
Ø
Échelle de Bord 0 – 10
Échelle de Bord 0 – 10
Score 0 : aucun essoufflement ;
Score 10 : au moindre effort (écrire,
parler, manger,…).
parler, manger,…).
Ø
Échelle de Sadoul
Échelle de Sadoul
Score 0 : aucun essoufflement ;
1 :
essoufflement à la montée de 2 étapes ;
essoufflement à la montée de 2 étapes ;
2 :
essoufflement à la montée d’un étage ou à la marche rapide ou en pente.
essoufflement à la montée d’un étage ou à la marche rapide ou en pente.
3 :
Essoufflement à la marche normale ;
Essoufflement à la marche normale ;
4 :
Essoufflement à la marche lente ;
Essoufflement à la marche lente ;
5 :
Essoufflement au moindre effort.
Essoufflement au moindre effort.
v
Plus le score monte en chiffre, plus l’état
dévient grave.
Plus le score monte en chiffre, plus l’état
dévient grave.
ü ORTHOPNÉE : Essoufflement
à l’allongement. On la cote en nombre d’oreillers.
à l’allongement. On la cote en nombre d’oreillers.
-
Avant l’enfant fautif le Papa le poursuivait
pour l’arrêter ; après ( âge avancé) on l’appelle, lui-même vient…a cause
de l essoufflement
Avant l’enfant fautif le Papa le poursuivait
pour l’arrêter ; après ( âge avancé) on l’appelle, lui-même vient…a cause
de l essoufflement
ü DOULEUR : donnée
importante (Respiration) indicateur.
importante (Respiration) indicateur.
·
La douleur doit être mesurée en qualité et en
quantité.
La douleur doit être mesurée en qualité et en
quantité.
-
Condition d’apparition (Lente, Brutale,
Progressive) ;
Condition d’apparition (Lente, Brutale,
Progressive) ;
-
Siège :
Localisée, irradiée…
Siège :
Localisée, irradiée…
-
Irradiation ;
Irradiation ;
-
Intensité EVA. Elle en donnant un chiffre
(échelle, visuel analogique) ;
Intensité EVA. Elle en donnant un chiffre
(échelle, visuel analogique) ;
-
Durée ;
Durée ;
-
Exacerbation à la toux ou à la fermeture de
l’hémithorax ;
Exacerbation à la toux ou à la fermeture de
l’hémithorax ;
-
La douleur doit être déclarée par le malade
parce qu’elle est subjective
La douleur doit être déclarée par le malade
parce qu’elle est subjective
-
Diaphragme : sniff
test : inspiration nasales rapides et saccadées dans le VC et le
VRI ;
Diaphragme : sniff
test : inspiration nasales rapides et saccadées dans le VC et le
VRI ;
-
Abdominaux : Toux.
Le hoquet : est un trouble du diaphragme ;
Abdominaux : Toux.
Le hoquet : est un trouble du diaphragme ;
BILAN ARTICULAIRE
Périmètre thoracique
et abdominal
et abdominal
Mobilité du rachis cervical (étoile de Maigre), dorsal,
lombaire (Schöber) et de la ceinture
scapulaire.
lombaire (Schöber) et de la ceinture
scapulaire.
BILAN
FONCTIONNEL
FONCTIONNEL
Transport autonome ou non : passage du lit au fauteuil
et retour périmètre de marche et tolérance à l’effort (Cooper 12 minutes, test
de 6 minutes).
et retour périmètre de marche et tolérance à l’effort (Cooper 12 minutes, test
de 6 minutes).
ü Déplacement
du patient du lit au fauteuil, du fauteuil au lit ;
du patient du lit au fauteuil, du fauteuil au lit ;
ü Descendre en
pliant ses genoux, ne pas se courber par le dos ;
pliant ses genoux, ne pas se courber par le dos ;
ü On travaille
en équipe, il ne faut pas que son travail dérangé le travail des autres.
en équipe, il ne faut pas que son travail dérangé le travail des autres.
Conclusion du
BILAN
BILAN
-
Dg Kinésithérapique ;
Dg Kinésithérapique ;
-
Techniques rééducatives ;
Techniques rééducatives ;
-
Hygiène de vie, mise en situation
Hygiène de vie, mise en situation
-
Tolérance à l’effort : un test à la
marche pendant 6 minutes (6’).
Tolérance à l’effort : un test à la
marche pendant 6 minutes (6’).
-
PIC FLOW :
indicateur d’obstruction surtout en cas d’asthme.
PIC FLOW :
indicateur d’obstruction surtout en cas d’asthme.
-
SPIROMETRE : dans
la survie du malade.
SPIROMETRE : dans
la survie du malade.
LES
PATHOLOGIES RESPIRATOIRES ET LEUR RÉÉDUCATION
PATHOLOGIES RESPIRATOIRES ET LEUR RÉÉDUCATION
a)
Obstructive ;
Obstructive ;
b)
Restrictive ;
Restrictive ;
c)
Mixte (2 tableaux co-éxistants).
Mixte (2 tableaux co-éxistants).
-
Quand ça concerne la Kiné, il y a un problème
de pression avec conséquence sur la ventilation et la perfusion.
Quand ça concerne la Kiné, il y a un problème
de pression avec conséquence sur la ventilation et la perfusion.
Pour le
meilleure prise en charge, il faut :
meilleure prise en charge, il faut :
Ø Précaucité ;
Ø Progressité ;
Ø Continuité ;
Ø Globalité.
ENCOMBREMENT BRONCHIQUE : élément le plus
important dans la rééducation Respiratoire.
important dans la rééducation Respiratoire.
La stagnation des SVR dans les poumons – empêchent
l’échanges des GAZ avec comme conséquence :
l’échanges des GAZ avec comme conséquence :
ü Baisse du
volume respiratoire ;
volume respiratoire ;
ü Baisse de
l’hématose ;
l’hématose ;
ü Les muscles
se ralentissent à fonctionner.
se ralentissent à fonctionner.
Il y aura une Hypercapnie ou une
Hypoventilation.
Hypoventilation.
La plus grande ventilation se passe dans les voies périphériques
Quand on tousse l’AIR peut atteindre 100 Km/h (la vitesse)
-
Passage de l’aire lamellaire (normale),
Turbulent (l’air va dans tous les sens…) ;
Passage de l’aire lamellaire (normale),
Turbulent (l’air va dans tous les sens…) ;
-
L’œdème en termes de bronches est dû à
l’inflammation, à la présence des microbes qui entrainent beaucoup de sécrétion
et quand la desquamation est massive, il y aura beaucoup de crachats
L’œdème en termes de bronches est dû à
l’inflammation, à la présence des microbes qui entrainent beaucoup de sécrétion
et quand la desquamation est massive, il y aura beaucoup de crachats
v
EMPHYSEME PULMONAIRE
EMPHYSEME PULMONAIRE
Définition :
Augmentation permanente du volume des espaces aériens distaux situés au-delà
des bronches terminales avec rupture des parois alvéoles.
Augmentation permanente du volume des espaces aériens distaux situés au-delà
des bronches terminales avec rupture des parois alvéoles.
1.
Emphysème Centro-lobulaire [Bleu Bloater
(bouffi bleu)] les poumons sont gonflés de l’air qui ne peut pas être vidé.
Emphysème Centro-lobulaire [Bleu Bloater
(bouffi bleu)] les poumons sont gonflés de l’air qui ne peut pas être vidé.
Les poumons
sont distendus.
sont distendus.
Ex :
Complémentaire :
Complémentaire :
Auscultation ;
Rx
Thorax ;
Thorax ;
Gaz
du Sang.
du Sang.
-
Hypoxie précoce ;
Hypoxie précoce ;
-
Hypercapnie en fonction de l’évolution ;
Hypercapnie en fonction de l’évolution ;
-
EFR ;
EFR ;
-
Trouble ventilatoire obstructif (diminution
du VEMS et du DEP) ;
Trouble ventilatoire obstructif (diminution
du VEMS et du DEP) ;
-
La capacité pulmonaire totale (CPT) est
normale…
La capacité pulmonaire totale (CPT) est
normale…
Décès par insuffisance respiratoire aigüe (surtout on
meurt la NUIT)
meurt la NUIT)
2.
EMPHYSEME PAN-LOBULAIRE
EMPHYSEME PAN-LOBULAIRE
-
La totalité de l’ACINUS est touchée (Alvéole
+ capillaire) tous les éléments de la ventilation et perfusion sont détruits…
La totalité de l’ACINUS est touchée (Alvéole
+ capillaire) tous les éléments de la ventilation et perfusion sont détruits…
-
Altération de la ventilation et de la
perfusion. Pas d’effet SHUNT ;
Altération de la ventilation et de la
perfusion. Pas d’effet SHUNT ;
-
Les lésions prédominent les bases
Les lésions prédominent les bases
ETIOLOGIE
-
Déficit en a 1 anti-trypsine
(anti-protéase) ;
Déficit en a 1 anti-trypsine
(anti-protéase) ;
-
Idiopathique
Idiopathique
Emphysème essoufflé rose « PINK PUFFER »
Le malade est penché en avant pour respirer ;
Ne peut pas manger à cause de l’étouffement ;
L’emphysème est précisée par le Radiologue ;
Auscultation
Évolution : est lente
-
Insuffisance respiratoire chronique sauf pour
l’emphysème juvénile (lobectomie)
Insuffisance respiratoire chronique sauf pour
l’emphysème juvénile (lobectomie)
Traitement
-
Greffe pulmonaire puis ;
Greffe pulmonaire puis ;
-
Kinésithérapie respiratoire ;
Kinésithérapie respiratoire ;
Ventilation dirigée corto-diaphragmatique,
aérosolthérapie broncho-dilatatrice, réhabilitation pulmonaire,
oxygénothérapie, antibiothérapie si exacerbation (surinfection).
aérosolthérapie broncho-dilatatrice, réhabilitation pulmonaire,
oxygénothérapie, antibiothérapie si exacerbation (surinfection).
-
Surveiller la couleur des crachats chaque
jour.
Surveiller la couleur des crachats chaque
jour.
D’AUTRES
FORMES
FORMES
-
Emphysème para-cicatriciel : séquelles
des pneumopathies ancienes sévères : pleurésies, TBC,
pneumoconioses) ;
Emphysème para-cicatriciel : séquelles
des pneumopathies ancienes sévères : pleurésies, TBC,
pneumoconioses) ;
-
Emphysème bulbeux : bulles multiples et
diffus.
Emphysème bulbeux : bulles multiples et
diffus.
Étiologie :
inconnues et souvent découvert par un pneumothorax
inconnues et souvent découvert par un pneumothorax
TRAITEMENT :
chirurgie d’exérèse : lobectomie ou pleurectomie
chirurgie d’exérèse : lobectomie ou pleurectomie
LA
BRONCHECTASIE
BRONCHECTASIE
(Dilatation des bronches)
Définition : C’est
la dilatation « dilatation permanente et irréversible du calibre des
bronches de petits calibres »
la dilatation « dilatation permanente et irréversible du calibre des
bronches de petits calibres »
-
Cette dilatation permanente différencie la
maladie de la bronchite chronique où l’ectasie ( atélectasie ??)
Cette dilatation permanente différencie la
maladie de la bronchite chronique où l’ectasie ( atélectasie ??)
PNEUMOTHORAX : Présence de
l’air dans thorax.
l’air dans thorax.
COMPLICATIONS
-
Pneumonies ;
Pneumonies ;
-
Atélectasies ;
Atélectasies ;
-
Pneumopathie ;
Pneumopathie ;
-
Hypercapnie ;
Hypercapnie ;
-
Hypoxémie ;
Hypoxémie ;
-
Dyspnée ;
Dyspnée ;
-
Bronchospasme ;
Bronchospasme ;
-
Pleurésies.
Pleurésies.
Les facteurs favorisants la survenues des
complications :
complications :
-
L’âge de 65 ans et plus ;
L’âge de 65 ans et plus ;
-
La présence d’une sonde-nasogastrique ;
La présence d’une sonde-nasogastrique ;
-
L’absence de la Toux ;
L’absence de la Toux ;
-
La durée de l’intervention (plus de 2
heures) ;
La durée de l’intervention (plus de 2
heures) ;
-
L’Asepsie.
L’Asepsie.
ATELECTASIES
EMPHYSÈME
-
Atteinte vaisseaux et bronches…
Atteinte vaisseaux et bronches…
-
Poumons affaissés, plats ;
Poumons affaissés, plats ;
-
L’essoufflement est un signe d’Hypercapnie.
L’essoufflement est un signe d’Hypercapnie.
Pression normale
en CO2 : 32 – 45 mmHg
en CO2 : 32 – 45 mmHg
pH normal entre : 7,35 - 7,36
-
Rétention Hydro sodée : anomalie de la
régulation du facteur nutriurétique.
Rétention Hydro sodée : anomalie de la
régulation du facteur nutriurétique.
LA RÉÉDUCATION RESPIRATOIRE
1. Qu’est ce que la
rééducation respiratoire ?
rééducation respiratoire ?
Il s’agit de
l’ensemble des techniques de rééducation et de Kinésithérapie permettant une
amélioration de la respiration.
l’ensemble des techniques de rééducation et de Kinésithérapie permettant une
amélioration de la respiration.
2.
Les effets de
la rééducation respiratoire.
Les effets de
la rééducation respiratoire.
-
La Pression des VRS a comme rôle de comprimer
les VR afin de drainer les secrétions vers les voies plus grosses pour stimuler
les secrétions puis la Toux et le crachat.
La Pression des VRS a comme rôle de comprimer
les VR afin de drainer les secrétions vers les voies plus grosses pour stimuler
les secrétions puis la Toux et le crachat.
·
Au début de la rééducation il n‘y a pas
forcement la toux.
Au début de la rééducation il n‘y a pas
forcement la toux.
L’objectif important et obligatoire prioritaire dans la
rééducation respiration est d’avoir la TOUX.
rééducation respiration est d’avoir la TOUX.
LES BPCO (BRONCHO
PNEUMOPATHIES CHRONIQUES OBSTRUCTIVES)
PNEUMOPATHIES CHRONIQUES OBSTRUCTIVES)
v
LA RÉHABILITATION PULMONAIRE
LA RÉHABILITATION PULMONAIRE
Définition : Elle
est l’ensemble des moyens personnalisées et multidisciplinaires mis en place
pour maintenir les capacités physiques des patients atteints de BPCO en vue
d’une MPEC sociale.
est l’ensemble des moyens personnalisées et multidisciplinaires mis en place
pour maintenir les capacités physiques des patients atteints de BPCO en vue
d’une MPEC sociale.
·
Éducation et soutien psychologique
Éducation et soutien psychologique
o Rééducation
respiratoire ;
respiratoire ;
o Réentrainement
à l’effort ;
à l’effort ;
o Éducation
nutritionnelle ;
nutritionnelle ;
o Réinsertion
sociale.
sociale.
ÉQUIPE
L’équipe de réhabilitation des BPCO est comprise
de :
de :
-
Médecin Pneumologue de préférence ;
Médecin Pneumologue de préférence ;
-
Kinésithérapeute ;
Kinésithérapeute ;
-
Psychologue ;
Psychologue ;
-
Ergothérapeute ; Profession de santé
évaluant et traitant les personnes afin de préserver et développer leur
rééducation dans des activités artistiques ou manuels.
Ergothérapeute ; Profession de santé
évaluant et traitant les personnes afin de préserver et développer leur
rééducation dans des activités artistiques ou manuels.
-
Assistante sociale ;
Assistante sociale ;
-
Diététicien ;
Diététicien ;
-
Infirmier(ère) et Aide soignant.
Infirmier(ère) et Aide soignant.
Spécialiste de l’Éducation physique.
v
FACTEURS QUI INFLUENCENT LA RÉHABILITATION
PULMONAIRE
FACTEURS QUI INFLUENCENT LA RÉHABILITATION
PULMONAIRE
-
Complication et Pathologies associées ;
Complication et Pathologies associées ;
-
Motivation du patient ;
Motivation du patient ;
-
Adhésion du patient au programme ;
Adhésion du patient au programme ;
-
Équipement et sa calibration ;
Équipement et sa calibration ;
-
La Médication.
La Médication.
Ces éléments peuvent influencer la reproductibilité des
paramètres recueillis pendant les tests.
paramètres recueillis pendant les tests.
v
CONTRE INDICATIONS
CONTRE INDICATIONS
-
Maladies Cardio-vasculaires.
Maladies Cardio-vasculaires.
-
Instabilité de l’état respiratoire :
Acidose non compensée , pH bas ;
Instabilité de l’état respiratoire :
Acidose non compensée , pH bas ;
-
Affection du système locomoteur :
Maladie neuromusculaire, rhumatisme chronique ;
Affection du système locomoteur :
Maladie neuromusculaire, rhumatisme chronique ;
-
Affection Psychologique ou
neuropsychologique ;
Affection Psychologique ou
neuropsychologique ;
-
La poursuite du tabagisme.
La poursuite du tabagisme.
ÉDUCATION ET
SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE
SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE
-
Information sur la maladie ;
Information sur la maladie ;
-
Explication des objectifs de la prise en
charge, conseils d’hygiène ;
Explication des objectifs de la prise en
charge, conseils d’hygiène ;
-
Persuasion et adhésion du patient à la
démarche thérapeutique ;
Persuasion et adhésion du patient à la
démarche thérapeutique ;
-
Prise en charge de la famille.
Prise en charge de la famille.
Cardio-fréquentiomètre : ceinture qui donne la FC
pendant l’activité. Marche.
pendant l’activité. Marche.
v
RÉÉDUCATION RESPIRATOIRE
RÉÉDUCATION RESPIRATOIRE
BUTS :
-
Désencombre et restaurer des nouveaux schémas
ventilatoire lutte contre la dyspnée ;
Désencombre et restaurer des nouveaux schémas
ventilatoire lutte contre la dyspnée ;
-
Toilette bronchique : AFE, EDUC, ELTGOL,
mobilisation passive du thorax ;
Toilette bronchique : AFE, EDUC, ELTGOL,
mobilisation passive du thorax ;
-
Exercices ventilatoire : Expiratoire,
lèvres pincées, respiration abdominodiaphragmatique ;
Exercices ventilatoire : Expiratoire,
lèvres pincées, respiration abdominodiaphragmatique ;
-
Renforcement des muscles respiratoires :
Abdominaux, diaphragme, transverse
Renforcement des muscles respiratoires :
Abdominaux, diaphragme, transverse
RÉENTRAINEMENT
(Hemocycle manuel)
(Hemocycle manuel)
Renforcement des muscles des membres inférieurs tel le
quadriceps, de même instamment ceux de l’épaule et du bras, mais aussi de la
main.
quadriceps, de même instamment ceux de l’épaule et du bras, mais aussi de la
main.
Moyens : Tapis
roulant, cyclo-ergomètre, marche (6’ MWD) test de 6 dynamomètre, stimulation
électrique des muscles quadriceps
(NMESQ).
roulant, cyclo-ergomètre, marche (6’ MWD) test de 6 dynamomètre, stimulation
électrique des muscles quadriceps
(NMESQ).
Exercices d’endurance et de résistance. Hand.GRIP (force
des mains).
des mains).
Modalités : 50 à
60% de P manaérobie. 30 à 45 minutes, 3 à 3 fois/semaine pendant 4 à 8.
60% de P manaérobie. 30 à 45 minutes, 3 à 3 fois/semaine pendant 4 à 8.
Comptes :
amélioré, stabilisé, régressé…
amélioré, stabilisé, régressé…
OLD
(OXYGENOTHERAPIE DE LONGUE DUREE)
(OXYGENOTHERAPIE DE LONGUE DUREE)
Possible de garder son oxygène pendant le réentraînement
à l’effort ;
à l’effort ;
Appareil portatif ;
Oxygénothérapie continue branché à l’appareil domestique
avec une longue canule qui sert au déplacement dans la salle tout en restant
branché.
avec une longue canule qui sert au déplacement dans la salle tout en restant
branché.
ÉDUCATION
NUTRITIONNELLE
NUTRITIONNELLE
Patient avec un IMC (indice de masse corporel) ≤21Kg/m2
surveillance de l’état nutritionnel pendant le RE.
surveillance de l’état nutritionnel pendant le RE.
Patient avec un IMC (indice de masse corporel) ≤26Kg/m2
conseils diététiques (obèse)
conseils diététiques (obèse)
REINSERTION
SOCIALE
SOCIALE
A l’issue du Programme de réhabilitation pulmonaire, une
évaluation finale est réalisée pour apprécier le niveau d’autonome du patient
dans les activités de la vie quotidienne (AVQ).
évaluation finale est réalisée pour apprécier le niveau d’autonome du patient
dans les activités de la vie quotidienne (AVQ).
L’évaluation réalisée.
Les échelles exploitent tous les aspects de la vie :
mobilité, acte de la vie quotidienne, dyspnée, respiration, endurance, force
musculaire, etc.…
mobilité, acte de la vie quotidienne, dyspnée, respiration, endurance, force
musculaire, etc.…
SGRQ : St Georges respiratory questionnaire
BPQ : Breathing Problems questionnaire
CRQ : Chronic respiratory Disease questionnaire
où réhabiliser la réhabilitation Pulmonaire.
-
En hospitalisation complète ;
En hospitalisation complète ;
-
En Ambulatoire ;
En Ambulatoire ;
-
A domicile.
A domicile.
LES EFFETS
|
-
La dyspnée ;
La dyspnée ;
-
Augmenter la tolérance à l’effort ;
Augmenter la tolérance à l’effort ;
-
Les exacerbations ;
Les exacerbations ;
-
Les hospitalisations ;
Les hospitalisations ;
-
La mortalité ;
La mortalité ;
-
La morbidité
La morbidité
Des améliorations de la fonction pulmonaire ont été
rapportées par certaines études.
rapportées par certaines études.
Attaque…
Affirmation
Confirmation
L’oxygénothérapie : est
une méthode visant à apporter artificiellement de l’O2 à un malade
de façon à rétablir ou à corriger l’Hypoxémie artérielle.
une méthode visant à apporter artificiellement de l’O2 à un malade
de façon à rétablir ou à corriger l’Hypoxémie artérielle.
Elle est administrée
sur prescription médicale.
sur prescription médicale.
Beaucoup
d’indications :
d’indications :
-
Hypoxémie ;
Hypoxémie ;
-
Hypoxie ;
Hypoxie ;
-
Hypercapnie ;
Hypercapnie ;
-
Détresse respiratoire ;
Détresse respiratoire ;
-
Insuffisance respiratoire aiguë
ou chronique…
Insuffisance respiratoire aiguë
ou chronique…
-
Oxygénothérapie de Longue
Durée (OLD)
Oxygénothérapie de Longue
Durée (OLD)
Patient branché sur O2
pendant plusieurs jours ou plusieurs mois non stop. (Oxygénothérapie continue)
au moindre débranchement, le malade meurt par Asphyxie.
pendant plusieurs jours ou plusieurs mois non stop. (Oxygénothérapie continue)
au moindre débranchement, le malade meurt par Asphyxie.
LES TECHNIQUES DE
RÉÉDUCATION RESPIRATOIRE
RÉÉDUCATION RESPIRATOIRE
Buts Principaux
Désencombrement :
Toilette bronchique
Toilette bronchique
Lutter contre
l’asynchronisme ventilatoire
l’asynchronisme ventilatoire
Complication
des complications : réentraînement à l’effort.
des complications : réentraînement à l’effort.
Prévenir les
complications ventilatoire (hypercapnie, hypoxémie, hypoxie, Atélectasie).
complications ventilatoire (hypercapnie, hypoxémie, hypoxie, Atélectasie).
3. Quelles sont les techniques et champs
d‘application ?
d‘application ?
On distingue :
Des techniques de désencombrement bronchique (selon les
pathologies) :
pathologies) :
L’accélération rapide du flux respiratoire (ARFE) :
le kinésithérapeute par un mouvement de mains accélère le flux aérien à l’expiration.
Cette accélération de l’air bronchique expiré créée une turbulence qui décroche
les sécrétions collées sur les parois des bronches. Elle permet aussi de
mobiliser et de faire progresser les sécrétions dans l’arbre bronchique (des
bronches moyennes vers les voies aériennes proximales c’est à dire proche de la
bouche).
le kinésithérapeute par un mouvement de mains accélère le flux aérien à l’expiration.
Cette accélération de l’air bronchique expiré créée une turbulence qui décroche
les sécrétions collées sur les parois des bronches. Elle permet aussi de
mobiliser et de faire progresser les sécrétions dans l’arbre bronchique (des
bronches moyennes vers les voies aériennes proximales c’est à dire proche de la
bouche).
L’accélération du flux
respiratoire (ALFE) avec le même principe comme ci-haut, permet de mobiliser
les secrétions des petites bronches vers les voies aériennes proximales. Précède
et complète l’ARFE.
respiratoire (ALFE) avec le même principe comme ci-haut, permet de mobiliser
les secrétions des petites bronches vers les voies aériennes proximales. Précède
et complète l’ARFE.
-
Les vibrations manuelles ;
Les vibrations manuelles ;
-
La toux passive ;
La toux passive ;
-
La toux provoquée ;
La toux provoquée ;
-
La broncho aspiration…
La broncho aspiration…
KINÉ
Enfant 10 – 15 séances selon la prescription
médicale.
Enfant 10 – 15 séances selon la prescription
médicale.
4. A qui
s’adresse-t-elle ?
s’adresse-t-elle ?
Personnes à tout âge
atteintes de pathologies A qui s’adresse : respiratoires aiguës
[Broncholites, pneumothorax ou chroniques (asthme, bronchite chronique,…)]
atteintes de pathologies A qui s’adresse : respiratoires aiguës
[Broncholites, pneumothorax ou chroniques (asthme, bronchite chronique,…)]
Elle est également
utile pour traiter les conséquences sur le système respiratoire d’autres
maladies (cancers…) ou de chirurgies throncique, abdominale).
utile pour traiter les conséquences sur le système respiratoire d’autres
maladies (cancers…) ou de chirurgies throncique, abdominale).
Elle est généralement
prescrite pour l’asthme, la bronchite chronique, l’emphysème pulmonaire,
l’insuffisance respiratoire, volets costaux, broncholite, mucoviscidose.
prescrite pour l’asthme, la bronchite chronique, l’emphysème pulmonaire,
l’insuffisance respiratoire, volets costaux, broncholite, mucoviscidose.
·
Volets costaux :
Fracture des côtes.
Volets costaux :
Fracture des côtes.
5. Quel est le déroulement d‘une séance ?
Séance
Kiné : Au cabinet, à l’hôpital, elle se déroule en différentes étapes.
Kiné : Au cabinet, à l’hôpital, elle se déroule en différentes étapes.
Après
consultation du dossier, le Kiné interroge, inspecte, ausculte et palpe le
client.
consultation du dossier, le Kiné interroge, inspecte, ausculte et palpe le
client.
Il
effectue ensuite un bilan diagnostic Kinésithérapique qui lui permet d’évaluer
les capacités du patient et d’adapter ses techniques.
effectue ensuite un bilan diagnostic Kinésithérapique qui lui permet d’évaluer
les capacités du patient et d’adapter ses techniques.
Selon
sa pathologie, le client peut être assis, semi-assis, allongé sur le dos ou sur
le côté.
sa pathologie, le client peut être assis, semi-assis, allongé sur le dos ou sur
le côté.
Les
techniques sont essentiellement manuelles, mais peuvent aussi utilisées du
matériel (bâton, ballon, appareil de ventilation).
techniques sont essentiellement manuelles, mais peuvent aussi utilisées du
matériel (bâton, ballon, appareil de ventilation).
L’éducation
ou suivi de leur maladie, à la prise de traitement (ex aérosols,…) constitue
une partie importante de la rééducation.
ou suivi de leur maladie, à la prise de traitement (ex aérosols,…) constitue
une partie importante de la rééducation.
Une
séance est individuelle et personnalisée.
séance est individuelle et personnalisée.
Sa
durée est très variable en tenant compte de la fatigabilité du patient.
durée est très variable en tenant compte de la fatigabilité du patient.
La
fréquence doit être quotidienne voir pluri-quotidienne pour les patho-aiguës
est peut être beaucoup plus espacée pour les pathologies chroniques.
fréquence doit être quotidienne voir pluri-quotidienne pour les patho-aiguës
est peut être beaucoup plus espacée pour les pathologies chroniques.
-
Pour les patients ne pouvant
pas se déplacer pour raison médicales, le Kinésitherapeute se rend à domicile.
Pour les patients ne pouvant
pas se déplacer pour raison médicales, le Kinésitherapeute se rend à domicile.
6. Kinésithérapie respiratoire contre la toux de
l’enfant
l’enfant
Est une technique utilisée par les
kinésithérapeutes pour désencombrer les bronches des bébés et des jeunes
enfants, lorsqu’ils ont du mal pour respirer à cause d’une broncholite par
exemple En 3 temps :
kinésithérapeutes pour désencombrer les bronches des bébés et des jeunes
enfants, lorsqu’ils ont du mal pour respirer à cause d’une broncholite par
exemple En 3 temps :
-
Le désencombrement de voies
aériennes supérieures ;
Le désencombrement de voies
aériennes supérieures ;
-
Les désencombrements
bronchiques ;
Les désencombrements
bronchiques ;
-
Et la technique de la toux
provoquée.
Et la technique de la toux
provoquée.
7. Effet de la Kinésithérapie respiratoire
Le Kinésithérapeute diplômé d‘état
dispose es bases nécessaires pour rééduquer, sous prescription médicale, les
patients atteints e pathologies affectant le système respiratoire. Beaucoup
‘entre eux complètent leur formation initiale pour améliorer leur compétences
sur es pathologies respiratoires spécifiques.
dispose es bases nécessaires pour rééduquer, sous prescription médicale, les
patients atteints e pathologies affectant le système respiratoire. Beaucoup
‘entre eux complètent leur formation initiale pour améliorer leur compétences
sur es pathologies respiratoires spécifiques.
La rééducation respiratoire fait partie,
comme toutes rééducations, d‘une prise en charge médicale globale et
pluridisciplinaire.
comme toutes rééducations, d‘une prise en charge médicale globale et
pluridisciplinaire.
Le Bilan En Kinésithérapie Respiratoire (Exogène,
Éthylisme, Œnolisme)
Éthylisme, Œnolisme)
A.
TECHNIQUES
MANUELLES
TECHNIQUES
MANUELLES
1.
La ventilation dirigée : basée sur une
ventilation lente et profonde qui a pour but de ralentir la fréquence
respiratoire.
La ventilation dirigée : basée sur une
ventilation lente et profonde qui a pour but de ralentir la fréquence
respiratoire.
NB :- Si
ventilation rapide, risque de collapsus bronchique
ventilation rapide, risque de collapsus bronchique
-
Ventilation lente et profonde permet un
meilleur recrutement des territoires pulmonaires périphériques.
Ventilation lente et profonde permet un
meilleur recrutement des territoires pulmonaires périphériques.
On peut faire.
Respiration « lèvres pincées » (ou filée).
Manœuvre de chasse avec la glotte ouverte, permet une
expiration facile.
expiration facile.
Localisations :
-
Thoracique, permet une mobilisation
costale ;
Thoracique, permet une mobilisation
costale ;
-
Diaphragmatique, Mobilisation
abdomino-diaphragmatique (VAD).
Diaphragmatique, Mobilisation
abdomino-diaphragmatique (VAD).
2.
Mobilisation passives du thorax, permet une
expiration passive en une d’obtenir une toux (Malade en coma)
Mobilisation passives du thorax, permet une
expiration passive en une d’obtenir une toux (Malade en coma)
On peut associer des vibrations aux pressions
effectuées pendant le temps expiratoire sur le thorax ou l’abdomen du patient.
effectuées pendant le temps expiratoire sur le thorax ou l’abdomen du patient.
3.
La toux provoquée peut être obtenue en
appliquant une légère pression sur la fourchette sternale pendant le temps
expiratoire.
La toux provoquée peut être obtenue en
appliquant une légère pression sur la fourchette sternale pendant le temps
expiratoire.
NB : Mais
manœuvre à appliquer avec précaution.
manœuvre à appliquer avec précaution.
4.
Le Réentraînement à l’effort (marche,
natation, tapis roulant, vélo)
Le Réentraînement à l’effort (marche,
natation, tapis roulant, vélo)
Les
techniques manuelles se basent d’une part sur la mobilisation thoracique
(effort pariétal) et d’autre part sur la variation des pressions à l’intérieur
des voies aériennes (effet viscéral) qui montre l’importance de maîtriser les
notions de mécanique ventilatoire externe et celles portant sur la mécanique
interne.
techniques manuelles se basent d’une part sur la mobilisation thoracique
(effort pariétal) et d’autre part sur la variation des pressions à l’intérieur
des voies aériennes (effet viscéral) qui montre l’importance de maîtriser les
notions de mécanique ventilatoire externe et celles portant sur la mécanique
interne.
B.
TECHNIQUES
INSTRUMENTALES
TECHNIQUES
INSTRUMENTALES
Ce sont des
outils d’aide au Doig Kinésithérapeutique.
outils d’aide au Doig Kinésithérapeutique.
1)
Stéthoscope (outil mixte de la personne
soignant) ;
Stéthoscope (outil mixte de la personne
soignant) ;
2)
Débutent du pointe (niveau d’obstruction des
bronches) gère les encombrements PEAK-FLOW ;on souffle dedans (valeur de
prédiction) 3 essaies et prendre la valeur maximale)
Débutent du pointe (niveau d’obstruction des
bronches) gère les encombrements PEAK-FLOW ;on souffle dedans (valeur de
prédiction) 3 essaies et prendre la valeur maximale)
3)
Saturomètre Oxymétrie de pouls ;
Saturomètre Oxymétrie de pouls ;
4)
Spiromètre ;(portatif et fixe)
Spiromètre ;(portatif et fixe)
5)
Cardio-fréquence-mètre ;(ceinture qui
mesure le pouls) pendant l’activité
Cardio-fréquence-mètre ;(ceinture qui
mesure le pouls) pendant l’activité
6)
Échelle d’évaluation de la dyspnée (EVA),
MRC, NYMA ;
Échelle d’évaluation de la dyspnée (EVA),
MRC, NYMA ;
7)
Gazométrie et Hémodynamique (détails voir
fichier annexe). Donne les Pa O2 et Pa CO2 (Pression
partielles)
Gazométrie et Hémodynamique (détails voir
fichier annexe). Donne les Pa O2 et Pa CO2 (Pression
partielles)
V
P %
P %
VEMS. 3,18 2,92
CVF 3,28 3, (Capacité vitale
forcée)
forcée)
DEP 6,78 (Débit expiratoire
de pointe)
de pointe)
DEM
Indice de
Triffenaux :
Triffenaux :
(Épreuve Fonctionne Respiratoire)
La spiromètre ne se fait qu’aux individus conscients
(collaborant)
(collaborant)
-
Courbe débits volume ;
Courbe débits volume ;
MATERIELS ET
ÉQUIPEMENTS EN KINÉ RESPIRATOIRES
ÉQUIPEMENTS EN KINÉ RESPIRATOIRES
(1) BARBOTER
(BOUTEILLE D’EAU à Souffler) ;
(BOUTEILLE D’EAU à Souffler) ;
(2)
FLUTER (avec boule) Beaucoup de trous ;
FLUTER (avec boule) Beaucoup de trous ;
(3)
RESPIREX 6 Trous : Petits trous :
beaucoup d’efforts ; Grands trous : peu d’efforts (moins). 2
embouts : 1- expiratoire EXPI ; 2- inspiratoire INSPI. Resistance 1 à
6 (B moyenne)
RESPIREX 6 Trous : Petits trous :
beaucoup d’efforts ; Grands trous : peu d’efforts (moins). 2
embouts : 1- expiratoire EXPI ; 2- inspiratoire INSPI. Resistance 1 à
6 (B moyenne)
(4)
SPIROMÈTRE.
SPIROMÈTRE.
On requière par l’expiration
·
La position du malade au lit doit avoir le
poumon malade en bas pour le ventiler (ATELECTASIE)
La position du malade au lit doit avoir le
poumon malade en bas pour le ventiler (ATELECTASIE)
-
Faire (Pression) sur le diaphragme (1) puis
sur les côtes flottantes (2).
Faire (Pression) sur le diaphragme (1) puis
sur les côtes flottantes (2).
ISOLEMENT :
(1) Protecteur
(ex GREFFÉ) ;
(ex GREFFÉ) ;
(2)
Transmetteur ex (TBC).
Transmetteur ex (TBC).
·
LEVE MALADE : un matériel de
manutention ;
LEVE MALADE : un matériel de
manutention ;
·
BAG : un abord d’une veine centrale.
BAG : un abord d’une veine centrale.
-
Drainage antigène : le malade
lui-même ;
Drainage antigène : le malade
lui-même ;
-
Entraînement de la toux par la méthode active
(ACBT) Q.
Entraînement de la toux par la méthode active
(ACBT) Q.
·
Chambre d’INHALATION ou Tente à O2.
Chambre d’INHALATION ou Tente à O2.
·
(incitation expiratoire)
(incitation expiratoire)
(1)
Technique basée sur la gravitation
Technique basée sur la gravitation
·
Drainage posturale
Drainage posturale
(2)
Technique de mobilisation de la cage
thoracique.
Technique de mobilisation de la cage
thoracique.
·
Les vibrations manuelles et mécaniques ;
Les vibrations manuelles et mécaniques ;
·
Techniques d’assoupissement des articulations
costo-sternales intervertébrales et de la ceinture scapulaire.
Techniques d’assoupissement des articulations
costo-sternales intervertébrales et de la ceinture scapulaire.
(3)
Technique de renforcement des muscles
inspiratoires
Technique de renforcement des muscles
inspiratoires
·
Rééducation du diaphragme en décubitus
latéral ;
Rééducation du diaphragme en décubitus
latéral ;
·
Renforcement des muscles inspiratoires avec
le spiromètre incitatif.
Renforcement des muscles inspiratoires avec
le spiromètre incitatif.
CPAP : (PPC) : Pression Positive Continue.
Machine avec
une pression constante à 10 Cm H2O un moyen passif pour libérer les
VR
une pression constante à 10 Cm H2O un moyen passif pour libérer les
VR
BIPAP
Modèle de
ventilation non évasive (mécanique)
ventilation non évasive (mécanique)
VNI : Ventilation non invasive (on
n’introduit pas le tuyau dans la bouche)
n’introduit pas le tuyau dans la bouche)
On donne une
aide inspiratoire
aide inspiratoire
Il y a un TRILLER : un point qui monte sous
forme d’un TRACÉ.
forme d’un TRACÉ.
RESPIRATION
(1)
Normale.
Normale.
(2)
De l’opéré en rouge
De l’opéré en rouge
TRIBOULE :
incitateur inspiratoire. TRIFLON
peut être cinématique ou volumétrique.
incitateur inspiratoire. TRIFLON
peut être cinématique ou volumétrique.
(1)
Expirer en dehors ; 1 boule = 300
CC ;
Expirer en dehors ; 1 boule = 300
CC ;
(2) Inspirer avec
l’instrument.
l’instrument.
2
boules = 600 CC
boules = 600 CC
3
boules = 900 CC
boules = 900 CC
Cinématique :
Vitesse
Vitesse
Excitateurs expiratoires
Chez
les patients opérés
les patients opérés
(1)
Barboter ;
Barboter ;
(2) Respirex ; Chez les OPERÉS 10 à 15 soufflets
avec repos.
avec repos.
(3) Trïflow ;
(4) Voldyne
(Volumétrique) (500 ml – 5000 ml)
(Volumétrique) (500 ml – 5000 ml)
·
Matériel de rééducation Respiratoire
Matériel de rééducation Respiratoire
(5)
TRE SHOTPER (Pression expiratoire Positive)
(PEP 5 à 20) avec une pince nasale à l’expiration
TRE SHOTPER (Pression expiratoire Positive)
(PEP 5 à 20) avec une pince nasale à l’expiration
Plus les trous sont
petits, ça demande beaucoup d’efforts.
petits, ça demande beaucoup d’efforts.
Moins les trous sont petits, ça demande moins
d’effort.
d’effort.
OUTILS d’aide
au traitement
au traitement
-
L’Aspirateur ;
L’Aspirateur ;
-
Le FLUTTER ;
Le FLUTTER ;
-
Le Spiromètre
Le Spiromètre
Beaucoup d’outils se basent sur la
mise en place d’une pression positive expiratoire ou inspiratoire.
mise en place d’une pression positive expiratoire ou inspiratoire.
Moyens incitatifs
-
Le tri-flow ;
Le tri-flow ;
-
Le respirex ;
Le respirex ;
-
Le voldyne ;
Le voldyne ;
-
Le barboteur (bocal ou bouteille à souffer)
Le barboteur (bocal ou bouteille à souffer)
La
Rééducation respiratoire reste l’élément additif à la médication pour la prise
en charge d’un malade qui pose des problèmes respiratoires avec risques
d’hypercapnie, d’hypoxie ou l’Atelection pulmonaire.
Rééducation respiratoire reste l’élément additif à la médication pour la prise
en charge d’un malade qui pose des problèmes respiratoires avec risques
d’hypercapnie, d’hypoxie ou l’Atelection pulmonaire.
Point de coté à l’inspiration signe d’une Pleurésie.
Prise en
charge Pleurésie
charge Pleurésie
-
Après la ponction ;
Après la ponction ;
-
Barboteur ;
Barboteur ;
-
Tri flow ;
Tri flow ;
-
Exercices pour les mouvements respiratoires
n’importe quelle station (mobilisation cage thoracique) ;
Exercices pour les mouvements respiratoires
n’importe quelle station (mobilisation cage thoracique) ;
-
Drainage postural ;
Drainage postural ;
-
Voldyne ;
Voldyne ;
-
Retrait DRAIN ;
Retrait DRAIN ;
-
Incitateurs respiratoires ;
Incitateurs respiratoires ;
-
Assouplissement et ventilation ;
Assouplissement et ventilation ;
-
Réentraînement (RE : Réentraînement )à
l’effort ;
Réentraînement (RE : Réentraînement )à
l’effort ;
-
ECBC = examen cyto-bactériologique.
ECBC = examen cyto-bactériologique.
-
Pour la manutention ou la mutation du malade
du lit a la chaise ou vice versa quand le client pèse par exemple 120 Kg ou
plus, on utilise un lève personne
(élévateur médicale automatisé télécommandé qui aide le personnel médicale à
soulever, déplacer, déposer ou basculer de gauche à droite un malade avec un
poids excessif)
Pour la manutention ou la mutation du malade
du lit a la chaise ou vice versa quand le client pèse par exemple 120 Kg ou
plus, on utilise un lève personne
(élévateur médicale automatisé télécommandé qui aide le personnel médicale à
soulever, déplacer, déposer ou basculer de gauche à droite un malade avec un
poids excessif)
v Le Médecin
doit jouer son rôle CURATIF et un rôle de SANTÉ PUBLIQUE
doit jouer son rôle CURATIF et un rôle de SANTÉ PUBLIQUE
ATELECTASIE =
Affaissement d’une partie pulmonaire.
Affaissement d’une partie pulmonaire.
Tr.Fibroscopie
Lavage
Bronchio-Alvéolaire ou faire une BIOPSIE pleurale.
Bronchio-Alvéolaire ou faire une BIOPSIE pleurale.
Technique
(1)
Ventilation dirigée ;
Ventilation dirigée ;
(2) Insitateur (Voldyne, Tree flow, Barboteur…);
(3) Travail en homolatéral.
L’Atélectasie est une des complications des opérés qui
traînent longtemps à l’Hôpital.
traînent longtemps à l’Hôpital.
Thesholdpep
Aide
au réentraînement des muscles inspiratoires.
au réentraînement des muscles inspiratoires.
Treshold IMT
(Toux) le
Threshold IMT
Threshold IMT
-
Coug assist : Toux assistée avec une
machine on insuffle de l’air dans les poumons et on aspire les crachats. L’air
insufflé entraîne la sortie des crachats sans que le malade ne tousse (en cas
de paralysies des muscles respiratoires) mal PARKIN SOW
Coug assist : Toux assistée avec une
machine on insuffle de l’air dans les poumons et on aspire les crachats. L’air
insufflé entraîne la sortie des crachats sans que le malade ne tousse (en cas
de paralysies des muscles respiratoires) mal PARKIN SOW
vit avec cette machine s’essuie seulement dès que les
crachats sortent. La plupart meurt la nuit dans leur sommeil.
crachats sortent. La plupart meurt la nuit dans leur sommeil.
-
AEROSOLTHERAPIE
AEROSOLTHERAPIE
ASPIRATION :
-
Aspiration naso-pharyngée ;
Aspiration naso-pharyngée ;
-
L’Aspiration nasotrachéale (se fait seulement
par le médecin)
L’Aspiration nasotrachéale (se fait seulement
par le médecin)
(La sonde est mesurée
entre le nez et la lobule de l’oreille).la distance qu’on utilise pour aspirer.
entre le nez et la lobule de l’oreille).la distance qu’on utilise pour aspirer.
Aspiration +
Manœuvre KINE (Actes mixtes)
Manœuvre KINE (Actes mixtes)
VNI :
ventilation non invasive : Masque nasal, malade avec hypercapnie.
ventilation non invasive : Masque nasal, malade avec hypercapnie.
Avec saturomètre en place.
PIP :
pression inspiratoire positive
pression inspiratoire positive
·
Masque nasal ;
Masque nasal ;
·
Masque bucco-nasal ;
Masque bucco-nasal ;
·
Fibroscopie Pulmonaire (par le
Pneumologue) ;
Fibroscopie Pulmonaire (par le
Pneumologue) ;
·
Échelle de WATERLO (REDI)
Échelle de WATERLO (REDI)
La GAZOMÉTRIE : Saturation normale Ad. 85 – 90%
Enfant 94%
AÉROSOLTHERAPIE
3
Actions pour l’aérosolthérapie :
Actions pour l’aérosolthérapie :
-
Fluidifier ;
Fluidifier ;
-
Drainer ;
Drainer ;
-
Expectorer…
Expectorer…
Patient
Médicaments AÉROSOL Pathologies
Dispositifs
C’est la projection dans les voies respiratoires d’un
micro-brouillard de substance volatiles des particules solides ou liquides en
dispersion dans l’air ou dans un gaz et suffisamment fines pour y rester en
suspension à faire inhaler à un patient en détresse respiratoire.
micro-brouillard de substance volatiles des particules solides ou liquides en
dispersion dans l’air ou dans un gaz et suffisamment fines pour y rester en
suspension à faire inhaler à un patient en détresse respiratoire.
Intérêts
Mettre en contact direct le médicament avec les voies
respiratoires rapidité d’action et état chimique favorable (résultat clinique
immédiat)
respiratoires rapidité d’action et état chimique favorable (résultat clinique
immédiat)
Peu d’effets secondaires ou indésirables.
INDICATIONS
1)
Aérosol non médicamenteux : pour
humidifier les voies respiratoires (ORL) ;
Aérosol non médicamenteux : pour
humidifier les voies respiratoires (ORL) ;
2)
Aérosol médicamenteux :
Aérosol médicamenteux :
-
Syndrome obstructif
Syndrome obstructif
Crise
d’asthme, traitement de fond :
d’asthme, traitement de fond :
-
Bronchite chronique ;
Bronchite chronique ;
-
BPCO ;
BPCO ;
-
Insuffisance respiratoire chronique ;
Insuffisance respiratoire chronique ;
-
Infection pulmonaire ð Aérosol
d’Antibiotique
Infection pulmonaire ð Aérosol
d’Antibiotique
I. Contre
indication et Effets indésirables
indication et Effets indésirables
Contre indication : Allergie au produit
Effet 2aires
selon les produits :
selon les produits :
-
Risque d’irritation ;
Risque d’irritation ;
-
Sécheresse buccale ;
Sécheresse buccale ;
-
Palpitation ;
Palpitation ;
-
Tachycardie ;
Tachycardie ;
-
Tremblement des extrémités.
Tremblement des extrémités.
Particularités : Insuffisance respiratoire chronique
-
Risque +++ si apport important d’O2 ;
Risque +++ si apport important d’O2 ;
-
Préconiser ðAérosol à l’air.
Préconiser ðAérosol à l’air.
Aérosol transforme le produit un brouillard sans O2.
II. LES
PRODUITS :
PRODUITS :
-
Ne pas mélanger les produits ;
Ne pas mélanger les produits ;
-
Béta 2 mimétiques : Bricanyl ðBronchodilatateur,
Anticholinergique ;
Béta 2 mimétiques : Bricanyl ðBronchodilatateur,
Anticholinergique ;
-
ATROVENT ðeffets
bronchodilatateur moins puissant ;
ATROVENT ðeffets
bronchodilatateur moins puissant ;
-
Anti Inflammatoire Stéroïdien :
Soludécatron ;
Anti Inflammatoire Stéroïdien :
Soludécatron ;
-
Corticoïde ;
Corticoïde ;
-
ATB : Sofiamycine ;
ATB : Sofiamycine ;
-
Fluidifiant : MYCOMYST = fluidifie les
sectétions.
Fluidifiant : MYCOMYST = fluidifie les
sectétions.
III.
NEBULISATEURS 2 Types :
NEBULISATEURS 2 Types :
1)
Nébulisateur ou générateur pneumatique (prise
murale O2 ou air) ;
Nébulisateur ou générateur pneumatique (prise
murale O2 ou air) ;
2)
Nébulisation à générateur ultrasonique
(ultrason) branché sur l’électricité.
Nébulisation à générateur ultrasonique
(ultrason) branché sur l’électricité.
ðPas d’O2
(domicile, insuffisant respiratoire).
(domicile, insuffisant respiratoire).
IV. MATÉRIEL
Ø
Saturomètre
Saturomètre
Ø Aérosol
(Peuf)
(Peuf)
Ø Nébulisateur
réservoir ;
réservoir ;
Ø Masque
tuyau ;
tuyau ;
Ø Débitmètre
sous aquapak ;
sous aquapak ;
Ø Appareil
ultrasonique ;
ultrasonique ;
Ø
Produit à nébuliser.
Produit à nébuliser.
V.
DÉROULEMENT DU SOIN
DÉROULEMENT DU SOIN
v
Plus médicaments ;
Plus médicaments ;
v Sans
médicaments.
médicaments.
1)
Vérifier la PM ;
Vérifier la PM ;
2)
Planifier les aérosols loin des repas ðcracher ;
Planifier les aérosols loin des repas ðcracher ;
ðVomissement.
3)
Prévenir le malade : expliquer le
soin ;
Prévenir le malade : expliquer le
soin ;
4)
Patient se mouche, dégage ses voies
respiratoires supérieures ;
Patient se mouche, dégage ses voies
respiratoires supérieures ;
5)
Installation : position ½ assise ;
Installation : position ½ assise ;
6)
Asthmatiques : Peak Flow avant et après
l’aérosol ðcourbe
Asthmatiques : Peak Flow avant et après
l’aérosol ðcourbe
7)
Lavage des mains ;
Lavage des mains ;
8)
Mettre le produit dans le réservoir ;
Mettre le produit dans le réservoir ;
9)
Brancher le tuyau au manomètre ou générateur
ultrasonique sans débit ;
Brancher le tuyau au manomètre ou générateur
ultrasonique sans débit ;
10)
O2 régler le débit ;
O2 régler le débit ;
11)
Brouillard obtenu, on installe le
masque ;
Brouillard obtenu, on installe le
masque ;
12)
Demander. Inspirer par le nez / pendant 15
Secondes;
Demander. Inspirer par le nez / pendant 15
Secondes;
ðExpirer par la
bouche/
bouche/
13)
Noter l’heure de la mise en œuvre 10 à 15
minutes, revenir voir le patient (ou il sonne) ;
Noter l’heure de la mise en œuvre 10 à 15
minutes, revenir voir le patient (ou il sonne) ;
14)
Rester auprès de lui (réassurance) ;
Rester auprès de lui (réassurance) ;
15)
Surveiller : le faciés ; la
fréquence respiratoire (FR)
Surveiller : le faciés ; la
fréquence respiratoire (FR)
16)
Donner la sonnette pour l’aérosol réinstaller
l’O2 et aquapak ;
Donner la sonnette pour l’aérosol réinstaller
l’O2 et aquapak ;
17)
Demander d’arrêter de parler pendant le temps
de l’Aérosol ;
Demander d’arrêter de parler pendant le temps
de l’Aérosol ;
18)
Selon PM : Peak Flow ;
Selon PM : Peak Flow ;
19)
Nettoyer le masque parce qu’il est
réutilisable (eau + savon) ;
Nettoyer le masque parce qu’il est
réutilisable (eau + savon) ;
20) Éducation :
Aérosol doseur ðpatient asthmatique
(PEUF).
Aérosol doseur ðpatient asthmatique
(PEUF).
v
LA RÉADAPTATION CARDIAQUE
LA RÉADAPTATION CARDIAQUE
Est l’ensemble des activités nécessaires pour influencer
favorablement les processus évolutif de la maladie, ainsi que pour assurer aux
patients la meilleure condition physique, mentale et sociale possible, afin qu’il
puissent, par leurs propres efforts, préserver ou reprendre une place aussi
normale que possible dans la vie de la communauté.
favorablement les processus évolutif de la maladie, ainsi que pour assurer aux
patients la meilleure condition physique, mentale et sociale possible, afin qu’il
puissent, par leurs propres efforts, préserver ou reprendre une place aussi
normale que possible dans la vie de la communauté.
1)
L’Hypoxie
L’Hypoxie
Incapacité du
soufflet thoracique à assurer une ventilation suffisante (hypoventilation
alvéolaire).
soufflet thoracique à assurer une ventilation suffisante (hypoventilation
alvéolaire).
-
Ce mécanisme est une cause, notamment dans
les hypoxémies des troubles ventilatoire restrictifs.
Ce mécanisme est une cause, notamment dans
les hypoxémies des troubles ventilatoire restrictifs.
-
Obésité ;
Obésité ;
-
Cyphoscoliose ;
Cyphoscoliose ;
-
Chirurgie thoracique ou abdominale ;
Chirurgie thoracique ou abdominale ;
-
Affections neuro-musculaires, etc.…
Affections neuro-musculaires, etc.…
-
Incapacité de la surface alvéolo-capillaire
d’assurer les échanges ;
Incapacité de la surface alvéolo-capillaire
d’assurer les échanges ;
-
Soit altération au niveau de la membrane
alvéolo-capillaire (FIBROSES) ;
Soit altération au niveau de la membrane
alvéolo-capillaire (FIBROSES) ;
-
Soit altération au niveau du lit vasculaire
(HTAP primitive ou post-embolique).
Soit altération au niveau du lit vasculaire
(HTAP primitive ou post-embolique).
-
Hyppocratisme digital
Hyppocratisme digital
2)
Mécanismes conduisant à l’Hypercapnie
Mécanismes conduisant à l’Hypercapnie
1.
Diminution de la proportion courant effectivement
utilisé pour les échanges gazeux
Diminution de la proportion courant effectivement
utilisé pour les échanges gazeux
-
Le patient ventile souvent l’espace
mort ;
Le patient ventile souvent l’espace
mort ;
-
C’est le principal mécanisme en cause
notamment dans les hypercapnies des troubles ventilatoire obstructifs.
C’est le principal mécanisme en cause
notamment dans les hypercapnies des troubles ventilatoire obstructifs.
2.
Anomalies des rapports ventilation/Perfusion
(VA/Q)
Anomalies des rapports ventilation/Perfusion
(VA/Q)
-
Ce mécanisme est aussi observé dans les
hypercapnies des troubles ventilatoire obstructifs (effet espace mort).
Ce mécanisme est aussi observé dans les
hypercapnies des troubles ventilatoire obstructifs (effet espace mort).
3.
Incapacité du soufflet thoracique à assurer
une ventilation suffisante (hypoventilation alvéolaire)
Incapacité du soufflet thoracique à assurer
une ventilation suffisante (hypoventilation alvéolaire)
-
Ce mécanisme est en cause, notamment dans les
hypercapnies de troubles ventilatoire restrictifs.
Ce mécanisme est en cause, notamment dans les
hypercapnies de troubles ventilatoire restrictifs.
·
Hypercapnies liées à la diminution du volume
courant (VT) utilisé pour les échanges gazeux.
Hypercapnies liées à la diminution du volume
courant (VT) utilisé pour les échanges gazeux.
-
Espace mort (VD) volume gazeux ne participant
pas aux échanges alvéolaires. C’est une partie de l’air présent dans les
conduits qui n’atteint jamais les alvéoles. Ce volume est d’environ 150 ml
durant une respiration courante normale.
Espace mort (VD) volume gazeux ne participant
pas aux échanges alvéolaires. C’est une partie de l’air présent dans les
conduits qui n’atteint jamais les alvéoles. Ce volume est d’environ 150 ml
durant une respiration courante normale.
LA RÉADAPTATION CARDIAQUE
-
Notion préliminaire ;
Notion préliminaire ;
-
Path cardiaques ;
Path cardiaques ;
-
Complications respiratoires
postopératoires ;
Complications respiratoires
postopératoires ;
-
Traitement en Kinésithérapie.
Traitement en Kinésithérapie.
Cyanogène : sous O2 mais sans saturation
optimale
optimale
RAISONS
-
Les déconditionnements physiques ;
Les déconditionnements physiques ;
-
La présence ou la persistance d’une ischémie
myocardique ;
La présence ou la persistance d’une ischémie
myocardique ;
-
L’altération de la fonction ventriculaire
gauche ;
L’altération de la fonction ventriculaire
gauche ;
-
La dépression et l’anxiété ;
La dépression et l’anxiété ;
-
La nécessité d’une prévention secondaire
(récidive, aggravation) ;
La nécessité d’une prévention secondaire
(récidive, aggravation) ;
-
L’évaluation du risque.
L’évaluation du risque.
Objectifs
(1) Médicaux :
-
La capacité physique ;
La capacité physique ;
-
Les symptômes ;
Les symptômes ;
-
L’évaluation du risque ;
L’évaluation du risque ;
-
L’éducation ;
L’éducation ;
-
La prévention secondaire ;
La prévention secondaire ;
-
La mortalité.
La mortalité.
(2)
Psychologiques :
Psychologiques :
-
La qualité de la vie ;
La qualité de la vie ;
-
La confiance en soi ;
La confiance en soi ;
-
L’anxiété et la dépression ;
L’anxiété et la dépression ;
-
Le stress ;
Le stress ;
-
L’activité sexuelle.
L’activité sexuelle.
(3)
Sociaux :
Sociaux :
-
Retour au travail ;
Retour au travail ;
-
L’autonomie.
L’autonomie.
(4)
Santé Publique :
Santé Publique :
-
L’adhérence au traitement ;
L’adhérence au traitement ;
-
Les coûts médicaux directs ;
Les coûts médicaux directs ;
-
La réduction.
La réduction.
(5)
Équipe :
Équipe :
-
Patient ;
Patient ;
-
Médecin (cardiologue) ;
Médecin (cardiologue) ;
-
Infirmiers ;
Infirmiers ;
-
Kinésithérapeutes ;
Kinésithérapeutes ;
-
Aides-soignants ;
Aides-soignants ;
-
Diététiciens ;
Diététiciens ;
-
Les Psychologues, etc.…
Les Psychologues, etc.…
-
Ergothérapeutes.
Ergothérapeutes.
Matériels : ECG + Rh Thorax, Echo
Holter : TA
une semaine en place –monitoring Holter
une semaine en place –monitoring Holter
Épreuve
d’effort, Moyens de mesure de VD2
d’effort, Moyens de mesure de VD2
Consommation
en O2
en O2
Cyclo-ergomètre
v Télémétrie
(conférence informatisée)
(conférence informatisée)
INDICATION : -
Suite de chirurgie coronaire ;
Suite de chirurgie coronaire ;
-
Suite de chirurgie valvulaire.
Suite de chirurgie valvulaire.
La réadaptation ne peut être considérée comme une
thérapeutique isolée mais doit être intégrée à l’ensemble du traitement, dont
il ne constitue qu’une facette.
thérapeutique isolée mais doit être intégrée à l’ensemble du traitement, dont
il ne constitue qu’une facette.
v
Quelles sont les raisons qui JUSTIFIENT SON
UTILISATION CHEZ LES PATIENTS CARDIAQUES
Quelles sont les raisons qui JUSTIFIENT SON
UTILISATION CHEZ LES PATIENTS CARDIAQUES
-
Le déconditionnement physique ;
Le déconditionnement physique ;
-
La présence ou la persistance d’une ischémie
myocardique ;
La présence ou la persistance d’une ischémie
myocardique ;
v LES OBJECTIFS
DE LA RÉADAPTATION CARDIAQUE
DE LA RÉADAPTATION CARDIAQUE
(1)
Médicaux ;
Médicaux ;
(2)
Psychologiques ;
Psychologiques ;
(3)
Sociaux ;
Sociaux ;
(4) De Santé
Publiques
Publiques
RECOMMANDATIONS
Dans tous ce que j’ai dit, nous allons
retenir qu’un malade avec défaillance respiratoire doit être pris en charge à
temps et efficacement par l’équipe multidisciplinaire composée par le Médecin, l’Infirmier,
le Kinésithérapeute, l’Assistant social, le diététicien, le technicien en
imagerie médical, le laboratin, le logopède, l’ergothérapeute et soi-même (le
malade…) tandis que l’individu normale doit faire quotidiennement ce que
j’appelle la GYMNASTIQUE RESPIRATOIRE c'est-à-dire 5 à 6 respirations profondes
(inspiration et expiration) chaque matin et au besoin. Afin de se mettre à
l’abri des problèmes pouvant entraîner l’insuffisance respiratoire.
retenir qu’un malade avec défaillance respiratoire doit être pris en charge à
temps et efficacement par l’équipe multidisciplinaire composée par le Médecin, l’Infirmier,
le Kinésithérapeute, l’Assistant social, le diététicien, le technicien en
imagerie médical, le laboratin, le logopède, l’ergothérapeute et soi-même (le
malade…) tandis que l’individu normale doit faire quotidiennement ce que
j’appelle la GYMNASTIQUE RESPIRATOIRE c'est-à-dire 5 à 6 respirations profondes
(inspiration et expiration) chaque matin et au besoin. Afin de se mettre à
l’abri des problèmes pouvant entraîner l’insuffisance respiratoire.
J’ai compris après cette formation que
tous le matériel et équipement nécessaire pour la prise en charge de la Kinésithérapie,
du réentrainement et de la rééducation respiratoire consistent à SOUFFLER c’est pourquoi je pense que le
sifflet, l’harmonica, la flute, le clairon, la trompète, la fanfare…SONT DES INSTRUMENTS POUR LA GYMNASTIQUE
RESPIRATOIRE. Moyens préventifs d’une insuffisance respiratoire.
tous le matériel et équipement nécessaire pour la prise en charge de la Kinésithérapie,
du réentrainement et de la rééducation respiratoire consistent à SOUFFLER c’est pourquoi je pense que le
sifflet, l’harmonica, la flute, le clairon, la trompète, la fanfare…SONT DES INSTRUMENTS POUR LA GYMNASTIQUE
RESPIRATOIRE. Moyens préventifs d’une insuffisance respiratoire.
Je
vous remercie
vous remercie
AINSI PRESENTE LE 23
JUILLET 2015
JUILLET 2015
Jules Florent
BABA MAYIMONA MANANGA
BABA MAYIMONA MANANGA
INFIRMIER
CHEF DE SERVICE
CHEF DE SERVICE
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